« J’ai commencé à faire de la photo un peu par accident. J’ai acheté mon premier appareil photo pour documenter mes voyages, mais au fur et à mesure, j’avais envie d’en faire de plus en plus. Jusqu’à ce que ça devienne presque une obsession ! », révèle Teemu Jarvinen. Ce photographe Finlandais basé à Dubaï est un véritable autodidacte qui a tout appris avec des cours en ligne, des vidéos et « beaucoup de pratique ». Avec ces deux séries intitulées « Cityscapes » et « Storm », l’artiste réalise des images singulières des villes de Singapour et de Dubaï. « Je trouve mon inspiration dans des films comme Blade Runner 2049. Ce que j’aime dans mon travail, c’est relever le défi de faire des images aussi parfaites que possibles sans retouches ». « J’ai toujours aimé la photographie urbaine. Ayant grandi dans un petit village Finlandais, je dois dire que les villes m’intéressent plus que la nature. La série « storm » a débuté par accident, alors que je tournais un timelapse à Singapour. Une tempête est arrivée en arrière-plan et c’est comme ça que j’ai commencé à chercher ces orages pour continuer la série ». Retrouvez ses images sur sa page Instagram : @teemu.jpeg
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Daria Aksenova’s Poetic Scenes
Daria Aksenova use de son talent à la manière, en quelque sorte, d’une magicienne ou d’une conteuse. Son pouvoir ? Transmettre sur papier une émotion qu’elle extériorise dans ses œuvres. À partir de ce songe, cette dernière mène des recherches sur le folklore, les mythes, et les symbolismes d’objets ou d’êtres liés à son thème à travers différentes cultures. Notamment sur la manière dont leur perception change au cours de l’histoire. « Je crée ensuite plusieurs concepts visuels et les résout en images finales », ajoute-t-elle. Ayant une forte préférence pour le travail avec l’encre, Daria Aksenova dessine chaque élément individuel, l’encre, puis le coupe à la main avec un scalpel. Les différentes pièces sont alors suspendues les unes contre les autres jusqu’à l’obtention de la profondeur souhaitée. « Une grande partie de mon inspiration provient d’une fascination pour la mythologie et le folklore. Chaque pièce raconte une histoire élaborée sur les comportements humains enracinés dans la condition humaine tels que la croissance, les aspirations, les émotions, les relations interpersonnelles, les conflits, la transformation et la mortalité », confie-t-elle.
The Beautiful Vibrant World of Rick Berkelmans
Art de rue, design de produits, dessin de presse ou encore visuels ludiques pour la publicité, les joyeuses et bigarrées illustrations de l’artiste néerlandais Rick Berkelmans alias Hedof se déploient à travers plusieurs supports et domaines. À la fois universels et enfantins, ses drôles de personnages se meuvent au sein de paysages parfois abstraits où les nuances se mélangent pour former des oeuvres pétillantes. L’illustrateur a notamment collaboré pour des entreprises de renom telles que Nike, The New York Times, Nickelodeon, Ikea, Samsung, KLM Airlines, Nestle, Playstation, Snapchat, WeTransfer, Google, Greenpeace et Facebook. Si sa signature artistique est aujourd’hui reconnaissable, c’est en partie grâce à son imagination d’enfant qu’il cultive quotidiennement. «En fait, je pense qu’en tant qu’enfants, nous sommes tous très créatifs, mais on nous apprend à ne pas l’être quand on vieillit. Dans mon cas, puisque j’étais toujours le gars qui jouait à l’extérieur, construisait des choses folles, jouait avec sa nourriture et, bien sûr, dessinait beaucoup, je savais que lorsque je grandirais, je voudrais être un dessinateur», confie-t-il. «Aujourd’hui, avec presque dix ans d’expérience à mon actif, j’essaie de trouver l’inspiration dans tout ce qui m’entoure: chansons, films, livres étranges, citations dans le train, etc. Je fais une photo rapide avec mon téléphone pour que je m’en souvienne plus tard et j’écris quelques notes. De plus, j’essaie de dessiner des trucs amusants au moins 30 minutes par jour et de garder tous ces dessins bien rangés dans des dossiers. Lorsque je dois trouver des idées, je regarde mes dessins et mes mots et j’essaie de les combiner pour créer quelque chose de nouveau qui est excitant. Je veux juste continuer à créer, car cela me fait me sentir heureux et vivant», il nous explique.
Fubiz Talks 2018 – Meet Philippe Découflé
Organisé conjointement par Fubiz et l’agence TETRO, l’événement Fubiz Talks vous donne rendez-vous pour sa troisième édition le 4 octobre prochain, dans la prestigieuse enceinte de la Salle Pleyel. Pour ce nouveau volet, les Fubiz Talks donnent une nouvelle fois la parole aux artistes, créateurs renommés ou pépites en devenir. Parmi eux, le danseur et chorégraphe Philippe Decouflé. © Laurent Philippe Son nom à fait le tour du monde avec les images des cérémonies des Jeux Olympiques d’Albertville qu’il a orchestrées en 1992, puis la coupe du monde de rugby. Philippe Decouflé c’est un univers coloré, poétique et ingénieux qu’il a su décliner sur scène, en clip ou en pub. Kodak et les baigneurs, c’était lui ! © Charles Fréger En 2015 il réalise un hommage à David Bowie à la Philharmonie de Paris avec Wiebo, un spectacle hybride à mi-chemin entre concert et performance. Quelques mois plus tard il répond à l’invitation du Cirque du Soleil et devient le 1er chorégraphe français à imaginer un spectacle à Broadway. © 2016, Cirque du Soleil Theatrical. Photo by Joan Marcus. © 2016, Cirque du Soleil Theatrical. Photo by Richard Termine. © 2016, Cirque du Soleil Theatrical. Photo by Joan Marcus. Philippe Decouflé c’est également des collaborations artistiques audacieuses avec Jean Paul Goude par exemple, lors du défilé Bleu Blanc Goude, clou des célébrations du bicentenaire de la Révolution Française. Les spectacles de sa Compagnie DCA conjuguent costumes étonnants, décors, lumières et vidéo, dans l’univers de la danse moderne. © Laurent Philippe Philippe Decouflé sera sur la grande scène de la Salle Pleyel pour nous faire vivre le coeur de sa démarche créative. Pour prendre part à la troisième édition des Fubiz Talks, rendez-vous sur les billetteries de la Salle Pleyel, de la Fnac et Digitick.