Organisé conjointement par Fubiz et l’agence TETRO, l’événement Fubiz Talks vous donne rendez-vous pour sa troisième édition le 4 octobre prochain, dans la prestigieuse enceinte de la Salle Pleyel. Pour ce nouveau volet, les Fubiz Talks donnent une nouvelle fois la parole aux artistes, créateurs renommés ou pépites en devenir. Parmi eux, le danseur et chorégraphe Philippe Decouflé. © Laurent Philippe Son nom à fait le tour du monde avec les images des cérémonies des Jeux Olympiques d’Albertville qu’il a orchestrées en 1992, puis la coupe du monde de rugby. Philippe Decouflé c’est un univers coloré, poétique et ingénieux qu’il a su décliner sur scène, en clip ou en pub. Kodak et les baigneurs, c’était lui ! © Charles Fréger En 2015 il réalise un hommage à David Bowie à la Philharmonie de Paris avec Wiebo, un spectacle hybride à mi-chemin entre concert et performance. Quelques mois plus tard il répond à l’invitation du Cirque du Soleil et devient le 1er chorégraphe français à imaginer un spectacle à Broadway. © 2016, Cirque du Soleil Theatrical. Photo by Joan Marcus. © 2016, Cirque du Soleil Theatrical. Photo by Richard Termine. © 2016, Cirque du Soleil Theatrical. Photo by Joan Marcus. Philippe Decouflé c’est également des collaborations artistiques audacieuses avec Jean Paul Goude par exemple, lors du défilé Bleu Blanc Goude, clou des célébrations du bicentenaire de la Révolution Française. Les spectacles de sa Compagnie DCA conjuguent costumes étonnants, décors, lumières et vidéo, dans l’univers de la danse moderne. © Laurent Philippe Philippe Decouflé sera sur la grande scène de la Salle Pleyel pour nous faire vivre le coeur de sa démarche créative. Pour prendre part à la troisième édition des Fubiz Talks, rendez-vous sur les billetteries de la Salle Pleyel, de la Fnac et Digitick.
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Fubiz Talks 2018 – Meet Mathias Kiss
Organisés conjointement par Fubiz et l’agence TETRO, les Fubiz Talks vous donnent rendez-vous pour une troisième édition le 4 octobre prochain dans l’écrin de la Salle Pleyel. De nombreux talents, qui font le paysage créatif actuel, viendront révéler leurs inspirations et les processus créatifs qui les guident au quotidien. Parmi eux, l’artiste français Mathias Kiss. « Golden Snake », © David Zagdoun Après avoir fait ses premières armes chez les Compagnons, cet artiste a acquis une solide expertise en restauration de monuments historiques et une maîtrise des différents styles architecturaux. Mathias Kiss explore la totalité des champs des possibles en matière de création artistique. « Radiant Room » pour Boucheron, ©Boucheron Sa réflexion s’oriente autour de la déconstruction de l’architecture classique en menant des travaux qui mélangent différentes disciplines comme la peinture et la sculpture, pour créer des installations in situ uniques. Les éléments qui composent ses œuvres sont toujours détournés de leur fonction première pour créer des expériences singulières. « Kiss Room », © Alexandre Gurkinger Vous pourrez entrer dans l’univers unique de Mathias Kiss le 4 octobre prochain à la Salle Pleyel. Il est dores et déjà possible de vous munir de vos billets sur les billetteries de la Salle Pleyel, de la Fnac et Digitick. « Banquise », © Alexandre Guirkinger
Likez vous les uns les autres!! ;-)
Aujourd’hui, une petite série de up and down…ça vous intéressera…ou pas!! Down: La pression que se mettent beaucoup d’ados quant à l’image qu’ils renvoient sur les réseaux sociaux, comme en témoigne cet article du Parisien: Bon, il est vrai que je n’ai pas vraiment été surprise par cette analyse car on a pu déplorer bon nombre d’évènements tragiques liés aux réseaux sociaux ces dernières années mais je trouve quand même ça super inquiétant. ça m’a rappelé que cet été, Choupette, la fille d’un couple d’amis avait passé son week-end à surveiller le nombre de likes sur sa nouvelle photo de profil. Lorsqu’elle nous a sorti: ” Si je n’obtiens pas au moins 30 likes sur celle ci, c’est que je dois être moche!!”, inutile de vous dire que j’ai bondi de ma chaise en tentant de lui remettre les neurones en place. Je crois que c’était peine perdue puisque quelques heures plus tard, sa photo avait récolté un peu + de 70 likes et que le jugement de ses amis virtuels avaient de toute façon beacoup plus de poids que le mien.J’ai beau ne pas être maman, je bassine régulièrement mes amis-parents sur ce sujet car je pense qu’ils ont un vrai rôle à jouer de ce coté là. Encore plus à cet âge ou les gamin(e)s sont en quête d’identité. UP: L’initiative de France 5 qui a eu la bonne idée de prolonger en replay la diffusion du documentaire consacré à Eglantine Emeyé et au combat qu’elle mène au quotidien pour son fils Samy, autiste. Ce documentaire est ENORME!! il n’y a pas d’autres mots.Je suppose que vous l’avez tous vu. Si ce n’est pas le cas, foncez, ” Mon fils, un si long combat” est disponible gratuitement jusqu’à la fin du mois.J’en profite pour remettre ici le N° d’autismophobie. Article déjà relayé sur facebook accompagné d’un coup de gueule tant le laxysme du gouvernement sur ce sujet est gerbant!! DOWN: La crise d’uticaire de Jean François Copé concernant le bouquin “Tous à poil”. Encore + drôle lorsqu’on apprenait 2 jours + tard que Itélé avait diffusé (par erreur) des images de fellation en live à une heure de grande écoute,. Images provenant du film Nynphomaniac de Lars Von Tryer.Donc oui, je le redis ici, la polémique déclenchée par Copé me sort par les trous de nez et oui, je suis en accord avec les propos tenus ci-dessous par Marc Daniau. Super bonus du jour et je LOL encore +: Suite à cette polémique, le bouquin vient de réaliser en 3 jours pratiquement autant de ventes (1300) qu’il n’en avait fait en 3 ans!! (1500) C’est à qui qu’on dit merciiiiiii? 😉 UP: La série “Hello Ladies” découverte suite à un article de Télérama. (oui, parfois, je me la joue “Bobo-intello”, mais rasssurez vous, c’est rare.). L’histoire de ce grand mec pas vraiment super sexy et qui n’a jamais de bol avec les filles est amusante, distrayante, rafraichissante!! Je ne suis pas super fan des films ou séries un peu stéréotypées “fifilles”, généralement, je préfère un bon thriller mais ces épisodes m’ont amusée. Si vous avez envie de changer un peu du registre “séries policières” ou “fantastiques” qui innondent le marché, n’hésitez pas, même mes potes mecs ont apprécié!! Voici un petit aperçu en V.O ( j’adore la bande son aussi) mais vous pouvez la trouver en version sous titrée. Les épisodes sont courts (30 minutes), ça ne vous laissera pas le temps vous ennuyer. Voilà, that’s all pour aujourd’hui. J’aurais bien encore plein de trucs à vous raconter mais le coté “Plus c’est long, plus c’est bon”, sur la blogo; ça n’a jamais fonctionné.. Je vais donc en rester là. Je profite néanmoins de mon passage ici pour souhaiter une bonne fête des amoureux à ceux qui n’ont rien contre.. On sait bien que “L’AMOUUUUUR, c’est tous les jours” (oui, on n’est pas cons – ça fait 9 ans que je lis ça sur la blogo) mais tous les jours, figurez vous que c’est aussi demain!! Si vous ne voulez pas qu’il se sente humilié, “likez” ou plutôt “lovez” votre conjoint!! ;-)Les photos des articles de presse sont issues du “Parisien” de ces derniers jours.
Quand un artiste de rue est rejoint par l’interprète original de la chanson
Sur un trottoir berlinois, un artiste de rue entame l’interprétation de Smalltown Boy, un titre du groupe Bronski Beat, co-fondé par Jimmy Somerville au début des années 80. Quand soudain, l’artiste Jimmy Somervile, lui-même, passe par là. Alors qu’il était simplement sorti pour promener son chien, il ne peut finalement pas résister à l’envie d’accompagner l’artiste de rue qu’il ne connaît visiblement ni d’Eve, ni d’Adam. Cela n’empêchera pas le nouveau duo de reprendre le titre phare des 80′s de concert. Chapeau l’artiste ! Cliquer ici pour voir la vidéo. Découvrez ou redécouvrez un épatant guitariste de rue polonais : Cliquer ici pour voir la vidéo.
Quel genre de “gamer” êtes-vous?
Cultcut dresse votre profil de joueur de jeux vidéo. Après cette longue semaine, certains d’entre vous vont se précipiter sur leur console pour écraser des vielles dames en toute impunité, se prendre pour Cristiano Ronaldo ou encore ramasser des pièces d’or déguisé en plombier italien. Petit tour d’horizon des différents types de joueurs. Cliquez sur les images pour jouer les Cuts tout au long de votre lecture 1. Le novice Aujourd’hui vous passez la journée avec un môme de 10 ans. L’occasion pour vous d’apprendre une ou deux techniques simples et efficaces pour descendre quelques mecs dans la rue. La base. 2. Le « Old School » Dans les années 80, le boss des salles d’arcade c’était vous: Pac-man, Pong, Space Invaders, Asteroids, vous étiez invincible. Petit conseil : évitez de vous frotter à la nouvelle génération, les kids d’aujourd’hui sont sans pitié pour les trentenaires de votre espèce. 3. Le gangsta Ce que vous a appris la rue c’est le RESPECT. Alors vous n’allez pas vous laisser emmerder pas des petits canards qui vous narguent à travers un écran. Batards ! 4. Le geek Les rares occasions où vous voyez la lumière du jour correspondent aux dates de sortie des gros opus. Votre chambre c’est votre territoire. Alors quitte à jouer 10 heures par jour, autant être installé confortablement. 5. Le “noob” Vous adorez jouer. Le problème c’est que vous êtes mauvais, vraiment très mauvais. Rien n’y fait, quand ça veut pas, ça veut pas… La suite en page 2 ! 6. Celle que l’on attendait pas Vous n’avez rien du joueur type : ni jeune, ni geek, ni chômeur. Pourtant, allez savoir pourquoi, vous avez ça dans le sang. R1, L1, carré, croix : aucun Boss ne parviendra à bloquer votre progression. 7. L’apprenti Tout ce que vous connaissez, vous l’avez appris grâce aux jeux vidéo. A l’école vous privilégiez déjà l’ardoise magique plutôt que la craie, vous écoutiez plus Adibou que votre prof de français… Mise en garde : cette méthode ne s’applique pas à tous les domaines de compétence. 8. Le puriste Pour vous l’âge d’or du jeu vidéo c’est la NES, les nouvelles consoles n’ont aucun charme à vos yeux. Alors un bon coup d’haleine dans la cartouche et c’est parti ! Attention tout de même à ne pas devenir un vieux con avant l’heure. 9. Le “foncedé” Rien ne vaut une après-midi console avec des potes, avec un bon gros joint pour se détendre et rigoler un bon coup. Le problème c’est qu’après 4h de jeu vous êtes complètement à l’Ouest. Il serait peut-être temps de sortir prendre un peu l’air, vous ne croyez pas? 10. L’ex “noob” Etre noob n’est pas une fatalité. Parfois il s’agit juste de trouver le style qui vous correspond vraiment. Keep the faith… Game Over