C’est en juin 1984 que le renommé photographe américain Richard Corman se rendit au 57 Great Jones Street à New York, studio de Jean-Michel Basquiat, afin de prendre l’artiste en photo. Envoûtants, sincères et minimalistes, ces portraits du défunt peintre devenu aujourd’hui une icône, font écho avec toute l’intensité de son oeuvre et de son destin. «Mon instinct immédiat fut d’éloigner de lui toutes distractions, et de le placer devant un mince mur de papier gris uniforme. Je voulais voir derrière ses yeux et lui permettre de raconter la partie la plus importante de son histoire – l’esprit humain qui se trouve derrière l’art», explique le photographe sur le site de sa galerie. Des clichés exceptionnels mettant en valeur le charisme si singulier du peintre qui, trente ans après sa mort, continue d’être admiré à travers le monde.
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Une femme se venge de son copain avec du sel au poivre sur le papier toilette
C’est connu, la vengeance est …
Le plus beau vol d’un avion en papier de sa vie
Cet homme prétend qu’il a …
Ces origamis vont littéralement vous plier en 4 !
En juin dernier s’est tenue à Manhattan une exposition réunissant des chefs d’oeuvres d’origamis de 88 artistes de toutes nationalités. Quand le pliage de papier est élevé au rang d’art, on se dit que c’est fou tout ce qu’on peut faire avec une simple feuille A4 ! Admirez le travail ! via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com via surfacetostructure.com Pêle-mêle, ces créations sont l’œuvre de : Ronald Koh, Nguyen Hung Cuong, Byriah Loper, Erik & Martin Demaine, Joel Cooper, Rebecca Gieseking, Linda Smith, Hana Coufalová, Bernie Peyton, Tran Trung Hieu & Tomohiro Tachi.
La galère des journalistes sportifs dans les hôtels de Sotchi en tweets et en images
Quand on pense aux dangers du métier de journaliste, on imagine des reporters sans frontières partis couvrir des conflits à l’autre bout du monde. Ces journalistes-là ne pensaient sûrement pas avoir affaire à toutes ces embûches en arrivant… dans leurs hôtels ! Point de bombes ni de risques d’enlèvement, mais des tringles à rideaux qui tombent, de l’eau impropre à la consommation et de légers problèmes de réservation : bienvenue en Russie, à Sotchi, dans les hôtels réservés à la presse internationale. A l’heure actuelle, seuls six des neuf hôtels construits pour les JO seraient effectivement en mesure de recevoir les journalistes et clients décemment. Et donc… ça balance pas mal sur Twitter : “Tu me manques, eau chaude. Tu étais super.” “Voici la chambre d’hôtel que @Sotchi2014 nous a donné jusqu’à présent. Un vrai foutoir. #cnnsotchi“ “L’eau a été rétablie, plus ou moins. Le bon côté des choses, c’est que je sais à quoi ressemble de l’eau dangereuse pour la santé désormais #Sotchi #sansfiltre“ “L’hôtel à Sotchi n’est ps encore achevé et n’a pas de trace de ma réservation. Je vais aller au bar pendant qu’ils règlent ça. Oh.” “La réception de notre hôtel à #Sotchi n’a pas de plancher. Mais il y a une photo de bienvenue.” “CNN a réservé 11 chambres dans un hôtel réservé à la presse @Sotchi2014 il y a 5 mois de cela. Nous sommes ici depuis 1 jour et seule une chambre est disponible. #cnnsotchi“ “Les gens me demandent ce qui m’a le plus surpris ici, à Sotchi. Assurément… c’est… CELA.” (Merci de ne pas jeter le papier toilette dans la cuvette mais dans la poubelle réservée à cet effet)