Illustrateur et scénariste vivant à Barcelone, Oriol Vidal a travaillé avec de grandes maisons d’édition telles que Scholastic ou Harper Collins. Sa série d’illustrations « Summertime » est l’un de ses projets personnels, axé sur le thème de l’été, de la chaleur, du soleil. Une célébration de cette période de relaxation, où l’on troque son costard-cravate pour un short et des paires de tongs, mais également propice au voyage, au rêve, à l’amusement. Ses dessins, riches en couleur, nous présentent diverses activités souvent pratiquées durant l’été : La lecture sur la plage, la piscine, ou encore des balades champêtres. La finesse de ses traits ainsi que le nombre de détails et la texture utilisée dans ses illustrations nous immergent dans l’insouciance et le plaisir que procurent cette période charnière, qui mériterait sans aucun doute de durer toute l’année.
Category: texture
Discover Pottery through Beautiful Shots
Ashot Gevorkyan est un photographe-cinéaste et retoucheur professionnel exerçant à l’international. Il est directeur de Gevorkyan’s, société basée à Kaliningrad et Moscou et qui a collaboré avec de grandes marques. Elle comprend huit employés, tous spécialisés dans les domaines publicitaire, filmique et de la retouche. Ashot nous présente ici un projet personnel, « Gaya », réalisé pour sa compagne. Celle-ci étudie le design : C’est la raison pour laquelle elle choisit l’atelier de poterie comme lieu de prise de vue. Les clichés, d’un naturel exceptionnel, mettent en lumière les mouvements très fluides de la jeune femme, ainsi que la technique utilisée pour réaliser ses pièces, et ce au fil des étapes. Le photographe réalise cette série avec deux appareils : l’un, entre ses mains, photographiant; l’autre installé afin de filmer la scène. Le choix lumineux, la couleur mais également la texture permettent de s’immerger au cœur de l’atelier, et de comprendre la technique que nécessite la fabrication de la poterie.
Disturbing And Beautiful Illustration By Davide Bonazzi
Certains feront des discours, d’autres préféreront écrire : Davide Bonazzi a décidé, lui, de dessiner. Originaire de Bologne en Italie, Davide dessine depuis sa tendre enfance. Son travail a été reconnu par des grands noms tels que la société des illustrateurs de New-York, le Wall Street Journal ou encore le Huffington Post, pour n’en citer que quelques uns. Afin de réaliser ses planches, il a choisi une méthode bien particulière où il utilise des images digitales, dans lesquelles il incorpore des textures d’objets qu’il a au préalable numérisées. Ses dessins sont une invitation à penser notre société : traitant de thèmes complexes, l’artiste parvient à retranscrire les dérives contemporaines avec brio, permettant ainsi de dénoncer les comportements qu’il juge absurdes. Jouant avec le cadre dans lequel se trouvent ses personnages, il expose sa vision des choses, tranchante, trouvant parfois l’inspiration dans des romans graphiques, des films, ou plus généralement dans les arts visuels.
Creative Event Paris On Air
À l’occasion du Air Max Day 2018, l’un des événements les plus attendus de l’année pour les amateurs de sneakers, la marque au swoosh a dévoilé son tout nouveau modèle, la Air Max 270. Cette année, Nike a décidé d’aller encore plus loin en organisant un événement unique « Nike On Air » pour imaginer la Air Max de demain, à l’image de sa ville. Après avoir traversé les villes de Shanghai, Londres, New York, Séoul et Tokyo, Nike On Air s’arrête à Paris. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi L’événement s’est tenu pendant trois jours à la Cité de la Mode et du Design. Fort d’une scénographie soignée, Nike On Air a fait voyager les visiteurs au rythme du design, des tendances et de la généalogie de la Air Max. Un premier temps fort retrace l’histoire de la chaussure à travers une exposition originale. Sur fond de bulles d’air et de tuyaux apparents, les amateurs ont pu redécouvrir les modèles iconiques qui ont fait la légende de la marque. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi On se souvient des premières inspirations de la Air Max. Il y a plus de 30 ans, le designer Tinker Hatfield découvre le Centre George Pompidou, un bâtiment singulier qui montre à l’extérieur l’architecture intérieure habituellement cachée. Ce dernier s’en inspire, pour à son tour, révéler à l’extérieur ce qui se cache à l’intérieur : la bulle d’air. Tinker ouvre la structure de la chaussure et conçoit ce qui deviendra la ligne directrice de la Air Max 1. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi Second temps fort, les participants ont planché sur la Air Max de demain, en choisissant entre silhouettes, textures, matières, palettes de couleurs et finitions pour inventer le modèle de leur rêve. Au total près de 2400 personnes ont participé aux ateliers, en ayant la chance d’être accompagné par les designers Nike présents à l’événement. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi Selon Courtney Dailey, Senior Colors Designer : « la couleur est une arme, un vecteur d’histoire. Elle est au coeur de notre réflexion. Nous essayons toujours de proposer des produits innovants en analysant les nuances de couleurs avant tout. La chaussure que tu vas acheter est représentée d’abord par ses couleurs, ensuite tu construis ta tenue en fonction de cela. » Pour Marie Odinot, Footwear Designer qui a travaillé sur la Air Max 270 : « La contrainte c’est d’abord de faire une chaussure confortable pour des personnes qui vont la porter toute la journée. Ensuite, le design doit mettre en valeur l’air bag, la chose la plus importante de la chaussure. Tu peux t’inspirer des anciens modèles mais toujours avec l’idée en tête que tu proposeras une chaussure très différente des autres modèles» Trois modèles ont été sélectionnés et seront mis en ligne sur le Global Voting Hub. Tout le monde est invité à voter et les vainqueurs seront annoncés le 14 Mai. © Sam Sarabandi Les participants du Nike On Air ont pu terminer leur expérience sur un atelier de customisation de produits, qui propose de choisir quelques motifs parmi une palette, pour créer un vêtement Nike à son image et repartir avec. La tagline « de l’imagination à la réalité ».
Residence in Los Cabos, Mexico
Avec le talent qu’on lui connait, Diego Villaseñor a créé une résidence à Los Cabos au Mexique, qui semble être à la fois nouvelle et ancienne. Superbe dans la texture et les angles, la maison appartient avant tout au paysage, non seulement parce qu’elle est fabriquée à base de pierre volcanique locale, mais aussi grâce à son éclairage naturelle magique. L’amour de Villaseñor pour la vie végétale locale est évident quand l’on regarde ses créations. Dans la plupart des cas, comme pour les palmiers et les herbes de cette villa, les plantes deviennent partie intégrante de l’architecture. Vous pouvez retrouvez le travail de Diego Villaseñor ici.