« J’ai commencé à faire de la photo un peu par accident. J’ai acheté mon premier appareil photo pour documenter mes voyages, mais au fur et à mesure, j’avais envie d’en faire de plus en plus. Jusqu’à ce que ça devienne presque une obsession ! », révèle Teemu Jarvinen. Ce photographe Finlandais basé à Dubaï est un véritable autodidacte qui a tout appris avec des cours en ligne, des vidéos et « beaucoup de pratique ». Avec ces deux séries intitulées « Cityscapes » et « Storm », l’artiste réalise des images singulières des villes de Singapour et de Dubaï. « Je trouve mon inspiration dans des films comme Blade Runner 2049. Ce que j’aime dans mon travail, c’est relever le défi de faire des images aussi parfaites que possibles sans retouches ». « J’ai toujours aimé la photographie urbaine. Ayant grandi dans un petit village Finlandais, je dois dire que les villes m’intéressent plus que la nature. La série « storm » a débuté par accident, alors que je tournais un timelapse à Singapour. Une tempête est arrivée en arrière-plan et c’est comme ça que j’ai commencé à chercher ces orages pour continuer la série ». Retrouvez ses images sur sa page Instagram : @teemu.jpeg
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30th Edition of « Visa pour l’Image » in Paris
La trentième édition du festival international de photojournalisme organisé à l’initiative de l’association Visa pour l’image aura lieu à Perpignan du 1er au 16 septembre. Cette année, une trentaine d’expositions dépeindront l’actualité mondiale à travers de poignants clichés. Des rencontres, conférences et projections sont également prévues au programme : les soirées de Visa pour l’image retracent ainsi les événements marquants survenus entre septembre 2017 et août 2018. La particularité cette année, c’est que le festival s’exporte aussi dans le parc de La Villette à Paris, où auront lieu des expositions et projections le 15 et 16 septembre. Des déplacés internes congolais rejoignent la rive après avoir passé la nuit en sécurité au milieu du lac Albert. Tchomia, RDC, 5 mars 2018.© John Wessels / AFP Conflits, faits de société, guerres, crises, politique, insolite, sport, culture, science, ou encore environnement feront notamment partie des sujets abordés tels que le conflit en Syrie, en Irak, les réfugiés et l’immigration dans le monde, le réchauffement climatique et plein d’autres sujets qui ont fait l’actualité cette année. Les meilleurs sujets photojournalistiques ont été sélectionnés dans le cadre des expositions. Choquantes et réalistes, ces images permettent aux photographes de témoigner de la violence qu’ils rencontrent au quotidien, et de la partager aux yeux du monde. Il s’agit également d’une manière de montrer au public la prise de risque que nécessite ce métier et la difficulté de celui-ci, au nom de la connaissance et de l’information. Dans le quartier de Keraniganj qui abrite de nombreux ateliers de confection, le lit d’un canal qui se jetait dans la rivière Buriganga est rempli de détritus. L’eau n’atteint plus la rivière en raison de la masse de déchets accumulés tout au long du canal.© Gaël Turine / MAPS Une femme en pleurs hurle après les forces de police lors d’une émeute qui a éclaté après l’annonce des résultats de l’élection présidentielle. Bidonville de Mathare, Nairobi, 11 août 2017.© Luis Tato / AFPLauréat du prix de la ville de Perpignan Rémi Ochlik 2018 Jiangsu, Chine, 16 juin 2016. Usine de transformation de poulets.© George Steinmetz / Cosmos World Press Photo of the YearCrise au VenezuelaCaracas, Venezuela, 3 mai 2017. José Víctor Salazar Balza (28 ans) en flammes lors d’affrontements entre la police anti-émeute et des manifestants opposés au président Nicolas Maduro.© Ronaldo Schemidt / Agence France-Presse Yacoub Moussa, jeune élève officier syrien avec ses camarades dans les décombres de l’académie militaire d’Alep, une ligne de front située à l’ouest de la ville et âprement disputée au cours des quatre ans de siège. Il a été blessé au visage par un tir de mortier deux jours plus tôt. Alep, Syrie, 18 décembre 2016.© Noël Quidu pour Paris Match Un vieil homme au milieu du cimetière de Qayyarah. Sous l’occupation de Daech, des militants ont détruit toutes les pierres tombales qui, à leurs yeux, étaient « non islamiques ». Qayyarah, Irak, 20 octobre 2016.© Alice Martins Un Palestinien lance des pierres sur des soldats israéliens lors de la quatrième semaine d’affrontements à la frontière entre Gaza et Israël. Selon les autorités médicales, deux Palestiniens ont été tués par des tirs de soldats israéliens postés à la frontière. 20 avril 2018.© Khalil Hamra / The Associated Press Des Palestiniens tentent de sauver quelques affaires des décombres de leur maison après une frappe aérienne israélienne pendant la nuit. Gaza, 8 juillet 2014.© Khalil Hamra / The Associated Press La caravane de migrants d’Amérique centrale traverse le Mexique, ici dans un wagon ouvert d’un train de marchandises qu’ils ont pu arrêter. Michoacan, Mexique, 17 avril 2018.© Edgard Garrido / Reuters Camp de réfugiés de Balukhali, Cox’s Bazar, Bangladesh, 20 septembre 2017. Un garçon rohingya désespéré s’accroche au camion d’une ONG locale qui distribue des colis alimentaires d’urgence aux réfugiés récemment arrivés.© Kevin Frayer / Getty Images La plupart des hommes en détention préventive sont affectés au dortoir sans mobilier du bloc A1, considéré comme le plus vétuste du quartier de haute sécurité.© Marc Dozier / Hemis pour Le Figaro Magazine Sanaa, Yémen. Fabrication de prothèses. Depuis le début du conflit, plus de 6 000 Yéménites ont été amputés.© Véronique de Viguerie / The Verbatim Agency pour Paris Match Palong Khali, Bangladesh, 9 octobre 2017. Des milliers de réfugiés rohingyas ont fui leurs villages, marché pendant des jours et enfin franchi la frontière. Épuisés, ils continuent en traversant des rizières.© Paula Bronstein / Getty Images Kutupalong, Bangladesh, 17 septembre 2017. Sous la pluie torrentielle de la mousson, une famille nouvellement arrivée attend un abri.© Paula Bronstein / Getty Images Le 11 mars 2011, à la suite d’un tremblement de terre de magnitude 9 et du tsunami qui a suivi, trois réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima ont explosé. 32 millions de Japonais ont été exposés aux radiations. On craint 10 000 cas de cancers liés à la catastrophe.© Samuel Bollendorff
Info, escapade, beauté…la note 3 en 1!!
Paname, Paname, Paname….ses monuments, ses musées, ses belles avenues et ses 32 millions de touristes annuel. Oui, oui, vous l’avez tous lu ou entendu récemment, en 2013, Paris a détrôné Londres en terme de fréquentation touristique et se place ainsi au 1er rang des capitales visitées. Si la plupart des visiteurs n’hésitent pas à classer notre capitale comme plus belle ville du monde, et si je tente parfois de vous vendre du rêve avec de “zolies” photos de la Tour Eiffel que je publie regulièrement sur facebook, il faut savoir que Paname, c’est aussi ça!!:(Amateurs d’apéro que vous êtes, je ne doute pas un seul instant que vous connaissiez tous les “Crakers Belin”, par contre, je suis à peu près sûre que vous êtes beaucoup moins calés sur les “Crackeurs” du métro parisien.) Coup de bol pour moi, j’ai la chance de ne pas habiter à proximité des stations concernées et d’échapper au triste spectacle que celui de ces toxicos défoncés aux yeux de tous, mais il serait temps que la mairie de Paris ou la préfecture (j’en sais rien) bouge un peu ses fesses!!Plus gai et parce qu’avec les beaux jours, les envies d’escapades en amoureux, entre potes ou familiales reprennent, un bon plan chez Gîtes de France qui se déroule en ce moment et jusqu’au 12 avril. (L’article est paru, il y a déja un petit moment mais je n’avais pas eu lemps de vous en parler.). Pour avoir effectué plusieurs séjours avec eux, volontairement dans des petits villages un peu paumées, je suis toujours super bien tombée!! Maisons super sympas, cadre authentique et acceuil des proprios très convivial. Quand on prononce le mot “gîte”, les gens ont encore trop tendance à s’imaginer dormir dans une grange ou une cabane pourrie, limite sans eau ni électricité, ( Ok,j’exagère un peu.), mais sachez le, ce n’est pas du tout le cas. Certaines maisons sont dignes du confort d’ hôtels 3 ou 4 étoiles. Sans les services bien sûr, personne ne viendra vous apporter le petit déj ou une bouteille de champ à 4 heures du matin.Dernier truc, une petite astuce beauté: C’est la dèche, vous êtes un peu fauchées ou tout simplement, vous n’avez pas 372 euros ( Rhhhôo, ça va, je déconne…) à dépenser dans le dernier démaquillant à la mode recommandé par toutes les Youtubeuses ou Blogueuses beauté, arrêtez de pleurnicher, voici la solution!!: Je précise que je n’ai pas encore essayé cette recette magique et économique, (j’ai que des yaourts à la fraise ou des mousses au chocolat chez moi!! 😉 ) mais si vous, vous avez déja testé, vos retours sont les bienvenus. Voilà les zamis, c’était la petite note en vrac du jour. Si vous repartez d’ici un peu moins con, j’aurais rempli ma mission. Si vous l’êtes toujours autant, ( joke!!) j’essaierais de faire mieux la prochaine fois… 😉 Toutes les photos sont issues de mon journal quotidien ” Le Parisien”
56 000 kilomètres au coeur de l’Asie : un voyage poignant
56 000 kilomètres au coeur de l’Asie, c’est le projet un peu fou de Kares Le Roy qui en a fait une vidéo époustouflante. A travers ce périple long de 24 mois, le photographe français n’avait qu’un but : rencontrer et faire la lumière sur les peuples et des cultures dont on ne parle pas assez. Au cours de ce voyage, l’homme a rencontré des tribus d’Asie du Sud-Est ou encore des gitans du Cachemire et du Rajasthan. Cette vidéo est un must see, huit minutes de magie rythmée par la musique de The Cinematic Orchestra. Kares Le Roy a publié un livre (disponible sur le site de la fnac notamment) à ce sujet : 56 000 kilometres un continent et des hommes. Pour suivre l’actualité de ce photographe, rejoignez le sur sa page Facebook. Cliquer ici pour voir la vidéo. Bonus : bienvenue en Asie avec ces superbes photographies