L’artiste rennais Arthur-Louis Ignoré, alias Ali, transforme les espaces urbains les plus courants en joyaux artistiques en peignant des motifs décoratifs dans les rues, les murs, les terrains de basket ou les piliers. Révélant sa fascination pour l’évolution des ornements tout au long de l’histoire de l’art et son rôle dans nos civilisations, ses interventions artistiques urbaines sont le fruit de recherches minutieuses. Travaillant souvent en noir et blanc, le travail d’Ali rappelle les motifs en arabesques de l’art islamique, les dynamiques motifs chinois de la dynastie Ming ou les ornementations complexes de la Grèce antique. Son travail se fond harmonieusement dans les villes et les lieux contemporains qu’il choisit de peindre, que ce soit dans une petite ruelle de Flekkefjord en Norvège ou sur des piliers du centre-ville d’Angers. Vous pouvez garder un œil sur les dernières œuvres d’Ali via Instagram.
Tag: motif
Creative Event Paris On Air
À l’occasion du Air Max Day 2018, l’un des événements les plus attendus de l’année pour les amateurs de sneakers, la marque au swoosh a dévoilé son tout nouveau modèle, la Air Max 270. Cette année, Nike a décidé d’aller encore plus loin en organisant un événement unique « Nike On Air » pour imaginer la Air Max de demain, à l’image de sa ville. Après avoir traversé les villes de Shanghai, Londres, New York, Séoul et Tokyo, Nike On Air s’arrête à Paris. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi L’événement s’est tenu pendant trois jours à la Cité de la Mode et du Design. Fort d’une scénographie soignée, Nike On Air a fait voyager les visiteurs au rythme du design, des tendances et de la généalogie de la Air Max. Un premier temps fort retrace l’histoire de la chaussure à travers une exposition originale. Sur fond de bulles d’air et de tuyaux apparents, les amateurs ont pu redécouvrir les modèles iconiques qui ont fait la légende de la marque. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi On se souvient des premières inspirations de la Air Max. Il y a plus de 30 ans, le designer Tinker Hatfield découvre le Centre George Pompidou, un bâtiment singulier qui montre à l’extérieur l’architecture intérieure habituellement cachée. Ce dernier s’en inspire, pour à son tour, révéler à l’extérieur ce qui se cache à l’intérieur : la bulle d’air. Tinker ouvre la structure de la chaussure et conçoit ce qui deviendra la ligne directrice de la Air Max 1. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi Second temps fort, les participants ont planché sur la Air Max de demain, en choisissant entre silhouettes, textures, matières, palettes de couleurs et finitions pour inventer le modèle de leur rêve. Au total près de 2400 personnes ont participé aux ateliers, en ayant la chance d’être accompagné par les designers Nike présents à l’événement. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi Selon Courtney Dailey, Senior Colors Designer : « la couleur est une arme, un vecteur d’histoire. Elle est au coeur de notre réflexion. Nous essayons toujours de proposer des produits innovants en analysant les nuances de couleurs avant tout. La chaussure que tu vas acheter est représentée d’abord par ses couleurs, ensuite tu construis ta tenue en fonction de cela. » Pour Marie Odinot, Footwear Designer qui a travaillé sur la Air Max 270 : « La contrainte c’est d’abord de faire une chaussure confortable pour des personnes qui vont la porter toute la journée. Ensuite, le design doit mettre en valeur l’air bag, la chose la plus importante de la chaussure. Tu peux t’inspirer des anciens modèles mais toujours avec l’idée en tête que tu proposeras une chaussure très différente des autres modèles» Trois modèles ont été sélectionnés et seront mis en ligne sur le Global Voting Hub. Tout le monde est invité à voter et les vainqueurs seront annoncés le 14 Mai. © Sam Sarabandi Les participants du Nike On Air ont pu terminer leur expérience sur un atelier de customisation de produits, qui propose de choisir quelques motifs parmi une palette, pour créer un vêtement Nike à son image et repartir avec. La tagline « de l’imagination à la réalité ».
Les tatouages pointillistes : des œuvres d’arts à même la peau
Vous voulez un tatouage mais vous ne savez pas encore quel motif vous souhaitez ? Oubliez alors les petits cœurs, les codes barre dans le cou ou encore les fées sur la cheville. Le tatouage est une œuvre d’art. Et l’artiste russe Brezinski Ilya l’a bien compris. Pour se différencier des autres, il utilise la technique du pointillisme pour dessiner ses illustrations sur le corps des gens. Cette façon de faire donne un dessin précis avec des contrastes étonnants. Parfait pour un motif que l’on garde à vie sur la peau ! La suite en page 2 !
Il réalise les motifs les plus incroyables dans la neige grâce à ses pieds
Lui, c’est Simon Beck, un anglais complètement givré qui réalise des fresques dans la neige. Un “snow artist” qui marche encore et encore pour créer les motifs les plus féeriques dans le manteau blanc de la montagne. Flocons géants, dessins circulaires ou étoiles des neiges, le travail de cet artiste est complètement dingo et donne envie de poser ses skis ou son snow 5 minutes pour s’essayer à l’art subtil de la gravure-sur-neige, qui peut prendre jusqu’à 10 heures de travail pour un seul motif ! Cliquer ici pour voir la vidéo.