Vera Shimunia a commencé son travail de broderie en 2015. Dès le début, elle a perçu le potentiel romantique et onirique de cet art. Elle s’est alors consacrée à la représentation de paysages de rêve, allant de couchers de soleil à des arc-en-ciel ou encore des aurores aux nuances violettes. Pour cette talentueuse créatrice russe, la broderie est une technique à la fois méticuleuse à la fois intuitive qui donne plus d’émotion que la peinture dans son processus de composition. Le travail de Shimunia est d’autant plus impressionnant qu’elle opère sur des surfaces se réduisant à la paume d’une main et qu’elle utilise une quantité de fils de couleurs variées à la précision étonnante.
Category: père
Discover Wonderful Pictures of Alep
Nantaise de naissance, la photographe Barbara Viollet vit depuis six ans à Paris. Il y a dix ans, elle décide de se lancer dans la photographie, quelques mois après le décès brutal de son père, lui-même photographe passionné. « C’était un homme généreux et curieux. Il est mon inspiration. » C’est l’une de ses soeurs qui lui fera cadeau de l’appareil photo de son père, un Pentax numérique. Très symbolique, cet objet fut pour elle le moyen de matérialiser son extrême sensibilité et de figer des instants choisis : « Depuis ce jour, il est crucial de toujours avoir un appareil photo dans mon sac, car tout est sujet ». Très au fait de l’actualité et passionnée d’Histoire, la photographe s’intéresse alors au conflit syrien, sujet omniprésent dans les médias et très complexe à comprendre. Néanmoins, la compréhension de celui-ci n’est pas sa motivation principale : « Fouler la terre syrienne, goûter à sa culture, apprendre sa langue, découvrir ses richesses était mon objectif. Mettre un visage sur la Syrie ». Elle contacte alors une association française afin d’apporter son aide dans les villes détruites : arrivée sur place, elle y découvre des villes meurtries par les combats qui ont fait rage. C’est à Alep que la photographe choisit de poser son sac. Tout est à reconstruire : « Les bâtiments, les esprits et les coeurs ». Elle découvre Alep, ville martyre de la guerre en Syrie, joyau des pierres blanches, ville du savon, des pistaches et des feuilles de vignes, anéantie sous les bombes. La ville, en ruines, est certes amputée de ses murs, mais également de ses hommes et de son âme. Malgré ce désolant spectacle, l’odeur de falafels la conduit jusqu’à Marco, réputé comme étant le meilleur de la ville, apparaissant, au milieu des décombres, comme le symbole de l’espérance. « Je suis venue à la rencontre d’Alep. Je vous présente des hommes, des femmes et des enfants dans des rues qui les ont vu grandir : ils sont le souffle de l’avenir. »
Un père en colère jette une chaise sur une juge
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Policier distrait une fillette après la mort de son père lors d’un accident
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SOS ma famille a besoin d’aide
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