Certes, on n’exige pas un réalisme total au cinéma : que les héros n’aillent jamais aux toilettes, qu’ils ne changent jamais de fusible dans leur appartement ou qu’ils ne passent pas la moitié d’un film à chercher un tabac ouvert un dimanche soir, admettons. Mais concernant l’informatique et les personnages de geeks utilisés pour ouvrir le domaine des possibles, il y a un peu d’abus. A croire que chaque faille scénaristique trouve sa réponse dans cette phrase : « on n’a qu’a dire qu’il passe par Internet! ». L’informaticien au cinéma est brillant, un peu autiste, équipé et il obéit à certaines lois incompréhensibles. Florilège. (more…)