Quand on pense aux dangers du métier de journaliste, on imagine des reporters sans frontières partis couvrir des conflits à l’autre bout du monde. Ces journalistes-là ne pensaient sûrement pas avoir affaire à toutes ces embûches en arrivant… dans leurs hôtels ! Point de bombes ni de risques d’enlèvement, mais des tringles à rideaux qui tombent, de l’eau impropre à la consommation et de légers problèmes de réservation : bienvenue en Russie, à Sotchi, dans les hôtels réservés à la presse internationale. A l’heure actuelle, seuls six des neuf hôtels construits pour les JO seraient effectivement en mesure de recevoir les journalistes et clients décemment. Et donc… ça balance pas mal sur Twitter : “Tu me manques, eau chaude. Tu étais super.” “Voici la chambre d’hôtel que @Sotchi2014 nous a donné jusqu’à présent. Un vrai foutoir. #cnnsotchi“ “L’eau a été rétablie, plus ou moins. Le bon côté des choses, c’est que je sais à quoi ressemble de l’eau dangereuse pour la santé désormais #Sotchi #sansfiltre“ “L’hôtel à Sotchi n’est ps encore achevé et n’a pas de trace de ma réservation. Je vais aller au bar pendant qu’ils règlent ça. Oh.” “La réception de notre hôtel à #Sotchi n’a pas de plancher. Mais il y a une photo de bienvenue.” “CNN a réservé 11 chambres dans un hôtel réservé à la presse @Sotchi2014 il y a 5 mois de cela. Nous sommes ici depuis 1 jour et seule une chambre est disponible. #cnnsotchi“ “Les gens me demandent ce qui m’a le plus surpris ici, à Sotchi. Assurément… c’est… CELA.” (Merci de ne pas jeter le papier toilette dans la cuvette mais dans la poubelle réservée à cet effet)