La gamme de déodorant Myro a été conçue en collaboration par Visibility et Deerfield. L’objectif ? Proposer un déodorant qui soit respectueux du corps humain, sans aucun produit chimique ou toxique, tout en concevant un design écologique et élégant. Ainsi est né Myro. Le principe est simple : il s’agit d’une capsule où s’insère le déodorant, et lorsque celui-ci est vide, il suffit d’insérer une recharge. La capsule contient 50% de moins de plastique qu’un déodorant normal, et est réutilisable presque à l’infini.
Le client peut personnaliser la couleur de la capsule et le parfum du déodorant. A quand une commercialisation en Europe ?
Illustrateur et scénariste vivant à Barcelone, Oriol Vidal a travaillé avec de grandes maisons d’édition telles que Scholastic ou Harper Collins. Sa série d’illustrations « Summertime » est l’un de ses projets personnels, axé sur le thème de l’été, de la chaleur, du soleil. Une célébration de cette période de relaxation, où l’on troque son costard-cravate pour un short et des paires de tongs, mais également propice au voyage, au rêve, à l’amusement.
Ses dessins, riches en couleur, nous présentent diverses activités souvent pratiquées durant l’été : La lecture sur la plage, la piscine, ou encore des balades champêtres. La finesse de ses traits ainsi que le nombre de détails et la texture utilisée dans ses illustrations nous immergent dans l’insouciance et le plaisir que procurent cette période charnière, qui mériterait sans aucun doute de durer toute l’année.
Il y a quelque chose d’incroyablement mystérieux dans les photos d’Elsa Bleda. La lumière, les couleurs, les ombres et les détails de la nuit révèlent une atmosphère si intense qu’on entendrait presque les néons bourdonner. Observer ses photos nous donne l’impression de visionner un film dont le suspense vous tient en haleine. « De mon film favori Blade Runner au cinéma gothique de Dario Argento et de la vision élusive de David Lynch, il y a tellement d’oeuvres qui inspirent mon art. »
Il est bien loin le temps des heures de colle et carnets de correspondance… On avait beau se plaindre parce qu’on terminait à 18h le mercredi et le jeudi, la vie était, sur certains aspects, plus douce et insouciante que dans cette jungle qu’est le monde du travail. Pour toutes ces petites choses emblématiques de nos années de dur labeur et de théorèmes de Pythagore, on l’avoue, on est un peu nostalgiques…