Les petites briques de Lego nous ont enchanté toute notre enfance, et nous enchantent encore en tant qu’adultes. Mais dans le contexte actuel de recherche de solutions alternatives pour la planète, l’utilisation du plastiques reste discutable. En partenariat avec Vestas, société qui implante entre autres des éoliennes, la marque de jeu proposera à la vente sur son site lors du Black Friday une éolienne en plastique recyclable, issu des fibres de canne à sucre. Proposée avec son cottage rouge et ses collines verdoyantes, cette éolienne fonctionnelle promet d’élever notre niveau de conscience aux énergies renouvelables, sans mettre de côté le jeu si cher à nos cœurs.
Category: enfance
Disturbing And Beautiful Illustration By Davide Bonazzi
Certains feront des discours, d’autres préféreront écrire : Davide Bonazzi a décidé, lui, de dessiner. Originaire de Bologne en Italie, Davide dessine depuis sa tendre enfance. Son travail a été reconnu par des grands noms tels que la société des illustrateurs de New-York, le Wall Street Journal ou encore le Huffington Post, pour n’en citer que quelques uns. Afin de réaliser ses planches, il a choisi une méthode bien particulière où il utilise des images digitales, dans lesquelles il incorpore des textures d’objets qu’il a au préalable numérisées. Ses dessins sont une invitation à penser notre société : traitant de thèmes complexes, l’artiste parvient à retranscrire les dérives contemporaines avec brio, permettant ainsi de dénoncer les comportements qu’il juge absurdes. Jouant avec le cadre dans lequel se trouvent ses personnages, il expose sa vision des choses, tranchante, trouvant parfois l’inspiration dans des romans graphiques, des films, ou plus généralement dans les arts visuels.
Amour véritable : ce papa-poule se fait tatouer les dessins de son fils sur le bras
©Chance Faulkner Keith Anderson est un père pas comme les autres. Out les motifs tribaux ou géométriques, ce papa-poule préfère se tatouer les dessins de son fils, histoire d’avoir une trace, ancrée sur sa peau, de l’amour qu’il lui porte – et de son enfance. Car les œuvres de son fils Kai n’ont rien d’extraordinaire si ce n’est qu’elles sont hors du commun parce qu’elles sont justement de Kai. Eh oui, c’est beau l’amour. ©Chance Faulkner ©Chance Faulkner Il en fait un par an depuis que Kai a 5 ans. Et quand on lui demande ce qu’il fera quand il n’aura plus de place pour y inscrire ces œuvres, il répond : “Je crois que je lui demanderai juste de dessiner des dessins plus petits”. ©Chance Faulkner ©Chance Faulkner ©Chance Faulkner ©Chance Faulkner ©Chance Faulkner ©Chance Faulkner ©Chance Faulkner ©Chance Faulkner ©Chance Faulkner ©Chance Faulkner
Top 10 des techniques de drague un peu pourries que tous les garçons ont utilisées dans leur jeunesse
Crédits photo (creative commons) : alliepaigeTout au début, on ne sait pas trop comment s’y prendre avec les membres du beau sexe. D’abord, on est impressionné, timide, et donc, maladroit, voire carrément à côté de la plaque. Puis, on change de stratégie, sans faire dans la finesse pour autant, car nos hormones commencent à nous travailler méchamment. Quand on n’y repense plus tard, elles étaient bien pourries nos méthodes d’antan.Lui tirer les cheveux(De 0- 3 ans) Ze classique. Pour faire passer le message, avant 8 ans, on est très offensif. Au sens propre.L’insulter de “caca boudin” (de 3 à 5 ans) On connaissait la litote de Corneille, “Va, je ne te hais point”. Il s’agit là, en quelque sorte, d’une variante, mais en poussant la logique encore un peu plus loin. Trop loin.Lui jeter du sable dans les yeux (de 3 à 5 ans) Le bac à sable… Ce lieu de socialisation privilégié où l’on peut jouer, draguer, salir ses fringues et attraper toutes les maladies que l’on veut en même temps… On essayait juste de renforcer son système immunitaire en la familiarisant avec les bactéries, voilà tout…Soulever sa jupe (de 5 à 8 ans) Pour voir la couleur de sa culotte bien entendu. Et s’empresser d’aller le raconter aux copains. Par la suite, ça restera la quête absolue, le Graal, le leitmotiv ultime. En essayant tout de même de faire preuve de davantage de subtilités. On a dit “en essayant”Lui offrir une bague en plastique (de 6 à 8 ans) Bague obtenue en glissant amoureusement une pièce de 2€ (une fortune à cet âge-là) dans une “tirette”, au supermarché. En 2 semaines, la peinture argentée dudit “bijou” aura complètement disparu, tout comme la “pierre” rose en forme de cœur qui symbolisait votre amour éternel – ce qui a 7 ans signifie jusqu’à la fin de l’année scolaire).Lui dire “Dis Camion” (de 8 à 10 ans) Prendre sa première gifle et comprendre que les blagues que tonton René fait après 3 Ricard sont définitivement à éviter… Charger un de tes copains d’aller lui demander si elle veut bien “sortir avec toi” (de 9 à 14 ans) Ou lui transmettre un petit mot écrit de ta main qui lui pose la question fatidique. Directement, sans détour ni fioriture. Avoir peur de “prendre un vent”. Puis recommencer, la semaine suivante, avec une de ses copines. Pour enfin “rouler un palot”.Jouer à “Action ou vérité”(de 11 à 14 ans) Laisser transpirer toute ton agitation hormonale dans chacune des “actions” attribuées. Charger chacune des “vérités” de lourds sous-entendus… Et espérer… L’inviter à un slow (de 13 à 15 ans) Lors de tes premières boums, dans le garage de tes parents. Des draps blancs recouvrant l’établi et les outils de ton père. La boule au ventre au moment où tu t’élances vers elle pour lui faire la demande. Puis, 3 minutes de gêne et de maladresse, à te concentrer pour ne pas marcher sur ses pieds…Organiser un twister (13 à 17 ans) Quand tes parents ne sont pas là bien entendu. Sur la moquette de ta chambre, avec un bon copain, et surtout, de bonnes copines (ou des copines “bonnes” ?)…”Main droite sur point rouge ! -Désolé, je suis obligé de m’appuyer sur toi sinon je ne tiens pas ! -Ouais ouais…”Souvenirs, souvenirs…
Le nouveau clip de Kaaris va vous donner le tournis
Il a été la révélation rap de l’année. Kaaris, le rappeur au vocabulaire le plus cru de la scène française sort son nouveau clip Or Noir, issu de l’album du même nom. Ici, pas de billets ni de filles dénudées, mais l’histoire d’un enfant qui grandit dans une cité. Si son enfance est plutôt tranquille, les événements qui suivent vont l’être beaucoup moins. Quand on connait le personnage Kaaris, on voit tout de suite le parallèle entre cet enfant et le rappeur lui-même. Les images sont magnifiques, et l’idée du clip est originale. Reprenant le mouvement de bras circulaire du Sevranais, la caméra va sans cesse effectuer des mouvements à 360 degrés. Au début, cela surprend un peu, mais l’esthétique de la vidéo reprend très vite le dessus. Kaaris continue d’imposer sa patte dans la cour des grands du rap français. Pourvu que ça dure. Cliquer ici pour voir la vidéo. L’un de ses autres clips : Dès le départ Cliquer ici pour voir la vidéo. Et celui qui l’a fait connaitre au grand public : Kalash, en feat avec Booba. Cliquer ici pour voir la vidéo.