Si vous souhaitez utiliser ce dessin pour votre communication, envoyez-moi un mail à [email protected]. Merci. How ! How ! How ! Je vous propose, comme je l’avais fait avec les dessins Chroniques martiennes, Alerte rouge, La vérité […] Emmanuelle Martinez Si vous souhaitez utiliser ce dessin pour votre communication, envoyez-moi un mail à [email protected]. Merci….
Category: enfant
Brazilian Fresco for Women Empowerment
L’association Meninadanca s’est associée au collectif Graffiti Life à l’occasion d’un projet mené au Brésil, ayant pour but de sensibiliser les populations au fléau que représente la prostitution des enfants, en particulier des très jeunes filles. L’autoroute BR-166, la plus longue du pays, est aussi un lieu d’exploitation connu de populations vulnérables. C’est donc le long de cette “route de l’exploitation” que le projet a vu le jour : des artistes graffeuses femmes ont été mobilisées pour créer de grandes fresques murales. La pièce principale de ce projet est une danseuse, représentant l’émancipation, la liberté et la puissance d’une féminité explosive et jouissive. Ce projet a été filmé à l’occasion d’un reportage de Sophie Meseg et Emily Hatter.
The Beautiful Vibrant World of Rick Berkelmans
Art de rue, design de produits, dessin de presse ou encore visuels ludiques pour la publicité, les joyeuses et bigarrées illustrations de l’artiste néerlandais Rick Berkelmans alias Hedof se déploient à travers plusieurs supports et domaines. À la fois universels et enfantins, ses drôles de personnages se meuvent au sein de paysages parfois abstraits où les nuances se mélangent pour former des oeuvres pétillantes. L’illustrateur a notamment collaboré pour des entreprises de renom telles que Nike, The New York Times, Nickelodeon, Ikea, Samsung, KLM Airlines, Nestle, Playstation, Snapchat, WeTransfer, Google, Greenpeace et Facebook. Si sa signature artistique est aujourd’hui reconnaissable, c’est en partie grâce à son imagination d’enfant qu’il cultive quotidiennement. «En fait, je pense qu’en tant qu’enfants, nous sommes tous très créatifs, mais on nous apprend à ne pas l’être quand on vieillit. Dans mon cas, puisque j’étais toujours le gars qui jouait à l’extérieur, construisait des choses folles, jouait avec sa nourriture et, bien sûr, dessinait beaucoup, je savais que lorsque je grandirais, je voudrais être un dessinateur», confie-t-il. «Aujourd’hui, avec presque dix ans d’expérience à mon actif, j’essaie de trouver l’inspiration dans tout ce qui m’entoure: chansons, films, livres étranges, citations dans le train, etc. Je fais une photo rapide avec mon téléphone pour que je m’en souvienne plus tard et j’écris quelques notes. De plus, j’essaie de dessiner des trucs amusants au moins 30 minutes par jour et de garder tous ces dessins bien rangés dans des dossiers. Lorsque je dois trouver des idées, je regarde mes dessins et mes mots et j’essaie de les combiner pour créer quelque chose de nouveau qui est excitant. Je veux juste continuer à créer, car cela me fait me sentir heureux et vivant», il nous explique.
Discover Wonderful Pictures of Alep
Nantaise de naissance, la photographe Barbara Viollet vit depuis six ans à Paris. Il y a dix ans, elle décide de se lancer dans la photographie, quelques mois après le décès brutal de son père, lui-même photographe passionné. « C’était un homme généreux et curieux. Il est mon inspiration. » C’est l’une de ses soeurs qui lui fera cadeau de l’appareil photo de son père, un Pentax numérique. Très symbolique, cet objet fut pour elle le moyen de matérialiser son extrême sensibilité et de figer des instants choisis : « Depuis ce jour, il est crucial de toujours avoir un appareil photo dans mon sac, car tout est sujet ». Très au fait de l’actualité et passionnée d’Histoire, la photographe s’intéresse alors au conflit syrien, sujet omniprésent dans les médias et très complexe à comprendre. Néanmoins, la compréhension de celui-ci n’est pas sa motivation principale : « Fouler la terre syrienne, goûter à sa culture, apprendre sa langue, découvrir ses richesses était mon objectif. Mettre un visage sur la Syrie ». Elle contacte alors une association française afin d’apporter son aide dans les villes détruites : arrivée sur place, elle y découvre des villes meurtries par les combats qui ont fait rage. C’est à Alep que la photographe choisit de poser son sac. Tout est à reconstruire : « Les bâtiments, les esprits et les coeurs ». Elle découvre Alep, ville martyre de la guerre en Syrie, joyau des pierres blanches, ville du savon, des pistaches et des feuilles de vignes, anéantie sous les bombes. La ville, en ruines, est certes amputée de ses murs, mais également de ses hommes et de son âme. Malgré ce désolant spectacle, l’odeur de falafels la conduit jusqu’à Marco, réputé comme étant le meilleur de la ville, apparaissant, au milieu des décombres, comme le symbole de l’espérance. « Je suis venue à la rencontre d’Alep. Je vous présente des hommes, des femmes et des enfants dans des rues qui les ont vu grandir : ils sont le souffle de l’avenir. »
Cute : une petite fille joue avec son chien
Zoe est un chien de …