Le prolifique photographe Jonk sort un troisième ouvrage qui présente une nouvelle série à la fois brute et subtilement poétique. C’est au coeur de divers lieux abandonnés que nous amène une nouvelle fois l’artiste passionné d’urbex. Dans «Wastelands», on découvre plusieurs graffitis et murales au beau milieu de ces endroits laissés pour compte, parfois même en ruine. «Wastelands invite le lecteur à voyager dans les territoires ignorés de l’art libre. Les superbes photographies de Jonk rendent un vibrant hommage à ces oeuvres étonnantes, réalistes ou abstraites, où la nature et l’usure du temps ont toujours leur mot à dire», indique Sabine Bledniak, Directrice des Éditions Alternatives, maison d’édition du livre. Mettant en lumière les oeuvres de 26 street-artistes, Jonk réussit encore une fois à nous faire aimer ces lieux délaissés par la majorité des humains. Entre décrépitude inéluctable et beauté isolée, ce projet nous donne à voir que là où se trouve l’art, réside encore la vie. Une exposition de quelques oeuvres de «Wastelands» se tient à Paris jusqu’au 1er décembre à la galerie Artistik Rezo. Plus d’informations sur le livre: par ici.
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A Magazine Cover Printed with HIV Positive Infused Ink
Le magazine autrichien Vangardist a participé à la campagne HIV Heroes, lancée par l’agence Saatchi & Saatchi, en tirant 3000 exemplaires de leur numéro consacré au VIH et aux idées reçues autour de cette maladie. Pour cela, les couvertures de 3000 exemplaires, réalisées par le photographe Darius Lucaciu, ont été imprimées à l’aide d’encre infusée avec du sang provenant de trois donneurs séropositifs dont Wiltrut Stefanek et Wyndham Mead. Les 15 000 autres exemplaires ont été imprimés avec de l’encre traditionnelle. Le sang a d’abord été traité à l’Université d’Innsbruck pour s’assurer qu’aucune contamination ne soit possible. Une petite imprimerie en Autriche a accepté de s’occuper des prints et c’est le patron qui a tiré tout seul les exemplaires pour ne pas impliquer ses employés. Les magazines ont été mis à la vente dans des sacs plastique pour des raisons légales et pour confronter les lecteurs à leur volonté de toucher ou non la couverture. La question derrière ce projet est : « Toucheriez-vous ce magazine imprimé avec du sang contaminé ? », pour venir contredire l’idée fausse qui dit qu’un malade est contagieux par un simple contact. Photos by Julian Behrenbeck.
Le calendrier 2014 de cette contorsionniste va vous tordre dans tous les sens
J-5 avant 2014 ! Il ne vous reste donc plus qu’une cent vingtaine d’heures avant de faire péter champagne, cotillons et… calendrier, évidemment ! Selon toute vraisemblance, les lectrices de MinuteBuzz auraient trouvé leur bonheur avec celui des prêtres sexy du Vatican. D’ailleurs, le Pape lui-même nous a envoyé un mail pour nous remercier de la mise en lumière de sa communauté de beaux gosses. De rien, François ! Nous nous adressons cette fois davantage aux lecteurs donc, même si les lectrices amatrices de contorsions sont les bienvenues, avec le calendrier de Julia Guenthel alias Zlata. Cette Russe de 27 ans est contorsionniste depuis l’âge de 4 ans et a battu de nombreux records du monde avec ses figures les plus extrêmes. Sa flexibilité, elle l’a mise en avant au travers de scènes et costumes tout à fait chatoyants dans ce calendrier totalement WTF, qui fera se tordre dans tous les sens qui voudra bien l’acheter !
Une étudiante graphiste imagine un packaging révolutionnaire pour M&M’s
Alyssa Phillips, une étudiante new-yorkaise en graphisme et design a imaginé un packaging innovant pour la marque M&M’s. Et sachant qu’on sait pertinemment qu’il y a un grand nombre de friands de ces cochonneries parmi vous, on s’est dit que ne pas partager ce concept avec nos lecteurs serait quasi-criminel. Inspirée de la technique de l’origami, Alyssa a imaginé un contenant en forme de cocotte en papier. En plus de faire tomber aux oubliettes le banal sachet en plastique, la graphiste en devenir a rebaptisé les sucreries M’s, lui confiant ainsi une image plus moderne. À la rédac, on a adoré ce nouveau packaging. Vous en pensez quoi ?
Indispensable : les 6 lieux à connaître pour sortir à Marseille
Poursuivons notre petite tournée des recoins de France où il fait bon sortir. Même à Marseille – haut lieu du grand banditisme, des règlements de compte, des pissenlits carnivores et du grand méchant l… non, c’est pas ça ? –, il y a des bonnes adresses ! Après Caen, Nantes, Bordeaux ou encore Lyon, faisons notre escale dans le sud-est de la France. Bienvenue à la planète Mars, Marseille ! Au-delà de l’armurerie, apparemment située sur le boulevard de la Libération, proposée ironiquement par Fabien LaBrioche, Marseille et ses 16 arrondissements regorgent d’adresses à connaître. Et on remercie nos chers lecteurs pour nous avoir suggéré quelques bons plans ! Teavora : Présenté par Lauréa P comme étant un “salon de thé divin les pieds dans le sable”, le Teavora est situé au 65 boulevard Longchamp. Pour déguster thés, smoothies et autres petites gourmandises, on vous conseille donc de vous nettoyer les panards au préalable. Trolley Bus : Le Trolley Bus est un club situé sur le vieux-port de Marseille. Avec ses trois ambiances distinctes, pop/rock, house/électro et soul/funk/r’n’b, vous trouverez forcément de quoi vous amuser. Et puis franchement, danser dans un ancien arsenal de galères, c’est plutôt atypique, non ? The Red Lion : Autoproclamé “pub incontournable à Marseille”, le Red Lion est situé face aux plages de Borély à Marseille. Si comme dans tout pub british, vous pouvez regarder des matchs de foot à loisir, sachez également que l’établissement accueille aussi des concerts ! Come on you Liverpool ! Bar de la Marine : A première vue, le Bar de la Marine ne paie pas de mine : une devanture un poil vieillotte, porte en bois… Sauf que c’est dans cet établissement que les scènes de la trilogie de Pagnol ont été filmées. Un troquet historique donc, un troquet qui se doit de figurer parmi les 6 lieux à connaître pour sortir à Marseille, un troquet où vous devez boire un pasataga ! *cliché* Le Perroquet Bleu : Bon, on s’est bien amusé. Maintenant, on va se régaler en faisant un petit tour au 72 boulevard des Dames. En plus de servir de belles salades et de jolis plats, le taulier organise depuis cet été des soirées jazz. Petite anecdote : le taulier, c’est le frère de Kad Mérad. Lilou Vintage : C’est bien beau de bouffer, mais faut aussi s’habiller ! C’est pourquoi nous terminons cette liste des 6 adresses à connaître pour sortir à Marseille par une friperie réputée ! Lilou Vintage, situé au 1 bis rue Pastoret (rien à voir avec Javier Pastore, le footballeur parisien), le shop propose des fringues pour hommes et pour femmes et annonce des prix “doux” ! Foncez !