Un Finlandais porteur du virus …
Category: maladie
Make a Child Cry Campaign
#MAKEACHILDCRY est la nouvelle campagne pour Médecins du Monde pensée par DDB Paris pour montrer l’injustice faite au 4 millions d’enfants dans le monde qui meurent de maladies car ils n’ont pas accès aux soins. Avec le slogan : « Faire pleurer un enfant, ça peut lui sauver la vie », des prints et un spot montrent des enfants en larme que l’on pense d’abord en train de souffrir mais qui s’avèrent être tristes à cause d’un soin ou d’un vaccin prodigué par un docteur. En s’appuyant sur un fait universel, la peur des enfants face au médecin, la campagne s’éloigne du simple constat de la souffrance pour mettre en valeur l’action de Médecins du Monde sur le terrain. La pub a été lancée le 6 juillet à travers des affiches et une vidéo. Elle s’est étendue le 8 juillet avec une landing page dédiée à l’identité des Médecins du Monde. Elle se poursuivra à l’international en TV, presse et affichage : en Allemagne, Argentine, Canada, Espagne, Grèce, Pays-Bas, Portugal, Suisse, UK.
Vidéo de Nina, la première infirmière infectée par Ebola
Nina Pham est la première …
A Magazine Cover Printed with HIV Positive Infused Ink
Le magazine autrichien Vangardist a participé à la campagne HIV Heroes, lancée par l’agence Saatchi & Saatchi, en tirant 3000 exemplaires de leur numéro consacré au VIH et aux idées reçues autour de cette maladie. Pour cela, les couvertures de 3000 exemplaires, réalisées par le photographe Darius Lucaciu, ont été imprimées à l’aide d’encre infusée avec du sang provenant de trois donneurs séropositifs dont Wiltrut Stefanek et Wyndham Mead. Les 15 000 autres exemplaires ont été imprimés avec de l’encre traditionnelle. Le sang a d’abord été traité à l’Université d’Innsbruck pour s’assurer qu’aucune contamination ne soit possible. Une petite imprimerie en Autriche a accepté de s’occuper des prints et c’est le patron qui a tiré tout seul les exemplaires pour ne pas impliquer ses employés. Les magazines ont été mis à la vente dans des sacs plastique pour des raisons légales et pour confronter les lecteurs à leur volonté de toucher ou non la couverture. La question derrière ce projet est : « Toucheriez-vous ce magazine imprimé avec du sang contaminé ? », pour venir contredire l’idée fausse qui dit qu’un malade est contagieux par un simple contact. Photos by Julian Behrenbeck.
Claudio Vieira de Oliveira, l’homme avec la tête à l’envers
Au Brésil, l’histoire de Claudio …