Le World Cleanup Day est une journée mondiale pour le nettoyage de notre planète. C’est une opération qui a lieu tous les mois de septembre de chaque année, organisée par l’association Let’s do it Foundation. L’objectif est de lutter contre la pollution à travers des nettoyages citoyens. Si vous êtes un(e) professionnel(l)e ou une association et…
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Journée mondiale des espèces menacées
Dessins de presse Tous les dessins par Emmanuelle Martinez|Publié 11 mai 2022–Mis à jour 11 mai 2022 Emmanuelle Martinez Si vous êtes un professionnel ou une association et souhaitez utiliser ce dessin pour votre communication, envoyez-moi un mail à contact@fleurdemamoot.fr afin que je vous établisse un devis. Vous pourrez aussi être intéressé par Publié 14…
Ils ont voté : nos vaches auront toujours le droit de roter (et de péter) !
Oui vous avez bien lu ! Les vaches et autres ruminants ont failli être interdits de rots et de pets en tout genre. La cause ? L’émission de méthane lors de leur relâchement buccal ou anal. Ce gaz, produit naturellement par ces animaux lors de la digestion, contribue à l’effet de serre, et les rejets de vaches représenteraient 16% du méthane produit dans le monde. Alors les députés qui planchent sur le projet de loi sur la transition énergétique ont dû se poser cette question très sérieuse : faut-il intégrer les émissions de méthane des ruminants (caprins, bovins, ovins) dans le champ d’application du futur plan de réduction des émissions de polluants atmosphériques ? Par leur vote, ils ont décidé de ne pas taxer les rots (ni les pets) de ces animaux d’élevage car ils considèrent que les agriculteurs n’ont aucun moyen d’agir sur ce problème. Vaches, moutons ou encore chèvres pourront donc gambader dans nos prairies l’esprit libre. Des recherches, notamment menées par l’Inra, sont tout de même en cours pour diminuer cette production de méthane lors de la digestion. Et oui, on ne rit pas avec la nature. Peut-être qu’un jour nos ruminants deviendront écolos et totalement propres..! Et ce n’est pas la famille Simpson qui aurait eu cette idée :
Paname, au fil de l’eau…
Si je vais souvent me balader (Oui oui, tjrs un seul L à “balader”), sur les quais de Seine après mes dures journées de labeur, c’est pour recharger les batteries, (l’eau a toujours eu sur moi un effet apaisant – Sans doute pour cela que je rêve de vivre en bord de mer.) et surtout y chercher un peu de CALME. Ahhhh…Le silence…ce truc si précieux qu’on a bien du mal à trouver quand on vit en plein coeur de Paname. La pollution, les terrasses bondées, la gueule désabusée des gens dans le métro, on finit par s’y faire…mais le BRUIT permanent, c’est ce qui m’insupporte le plus en ce moment. (Je dois vieillir. ;-))Alors, plutôt que de laisser moisir sur mon ordi les quelques photos prises récemment, je les relaie ici. Elles n’ont aucun intérêt particulier, comme cette note d’ailleurs qui ressemble aux milliers de publications qu’on voit chaque jour sur la blogo et qui sont dignes de rédacs de 4ème B. Prenez là, juste comme un petit interlude. Elle ne mérite pas mieux.* Retour à la surface… * Et non, je n’écris pas ceci pour m’entendre dire ” Ah mais détrompe toi, elles sont trop trop tellement belles tes photos!!” Faut arrêter, j’ai plus 12 ans et demi. Commentaire, pas commentaire, like, pas like, comme je l’ai toujours dit ici, ça ne changera jamais rien à ma façon de bloguer. * bis. Et là, du coup, plus personne n’ose dire ” Elles sont sympas tes photos”, de peur de se faire envoyer balader. Je LOL. 😉 😉
Et si les mégots jetés par terre devenaient des plantes ?
“TOP : On me jette par terre dans le monde près de 140 000 fois par seconde, je suis moche et je pue. Qui suis-je ?“. Tic tac tic tac tic tac… Le mégot bien sûr ! Parce que trop de mégots sont jetés dans la rue, un designer anglais a inventé un concept plutôt étonnant : intégrer une graine dans le mégot qui lui sera biodégradable de façon à ce qu’une plante pousse à l’endroit où ce dernier aura été jeté. L’idée, plutôt innovante, paraît cependant incongrue. Il est difficile d’imaginer qu’une plante puisse pousser dans de bonnes conditions autour de la nocivité du tabac. Il y a quelques années, le plus discret Oz Collective avait déjà approché ce concept de faire pousser du bon dans du mauvais. Ben Forman – le designer en question – s’en serait inspiré que ça ne nous étonnerait pas !