Lors d’un match de football …
Category: presse
Make a Child Cry Campaign
#MAKEACHILDCRY est la nouvelle campagne pour Médecins du Monde pensée par DDB Paris pour montrer l’injustice faite au 4 millions d’enfants dans le monde qui meurent de maladies car ils n’ont pas accès aux soins. Avec le slogan : « Faire pleurer un enfant, ça peut lui sauver la vie », des prints et un spot montrent des enfants en larme que l’on pense d’abord en train de souffrir mais qui s’avèrent être tristes à cause d’un soin ou d’un vaccin prodigué par un docteur. En s’appuyant sur un fait universel, la peur des enfants face au médecin, la campagne s’éloigne du simple constat de la souffrance pour mettre en valeur l’action de Médecins du Monde sur le terrain. La pub a été lancée le 6 juillet à travers des affiches et une vidéo. Elle s’est étendue le 8 juillet avec une landing page dédiée à l’identité des Médecins du Monde. Elle se poursuivra à l’international en TV, presse et affichage : en Allemagne, Argentine, Canada, Espagne, Grèce, Pays-Bas, Portugal, Suisse, UK.
Accident d’un motard trop pressé
Voila ce qui peut arriver …
Top 10 des héros de la liberté de la presse, le classement RSF
source photo : shakerdepixelsA l’occasion de la Journée mondiale de la presse le 3 mai dernier, Reporters sans frontières (RSF) publie pour la première fois sa liste des “100 héros de l’information”, des hommes et des femmes qui ont pour beaucoup dû passer par la case prison pour défendre leur métier et qui méritaient bien un petit hommage topitesque.Najiba Ayubi (Afghanistan) Journaliste, activiste et directrice du Killid Group, premier réseau de médias en Afghanistan avec les très populaires Killid Weekly et Mursal Weekly, Najiba Ayubi a été inquiétée de nombreuses fois, notamment en raison de son sexe. Loin d’avoir la pétoche (même quand des groupes armés lui rendent visite à son domicile), elle continue de se battre pour la liberté d’expression. Ça lui a valu en 2013 le prix du courage journalistique décerné par l’International Women’s Media Foundation. La grosse classe.Assen Yordanov (Bulgarie) Gonflé par le manque d’objectivité des médias existants dans son pays, Assen Yordanov fonde en 2010 le site bivol.bg (comprenez “le buffle”) où il publie des enquêtes exclusives sur la corruption, les failles du système judiciaire et le crime organisé. Depuis il a fait copain-copain avec Julian Assange de WikiLeaks qui lui refile régulièrement ses infos concernant la classe politique bulgare.Claudia Duque (Colombie) On le savait déjà, mais la Colombie n’est pas tout à fait le petit le plus safe pour les journalistes d’investigation. Spécialiste sur les questions du recrutement d’enfants soldats et des disparitions forcées, Claudia Duque a été enlevée (une fois en 2001), mise sur écoute, et évidemment moult fois menacée de mort. Du coup, elle s’est exilée à plusieurs reprises avant de finalement revenir au pays pour continuer ce qu’elle avait commencé.Dawit Isaac (Érythrée) L’Érythrée n’étant pas tout à fait the place to be en matière de droits de l’homme, cela fait treize ans que nous sommes sans nouvelles de Dawit Isaac, journaliste emprisonné pour avoir écrit un article sur un groupe de quinze membres du gouvernement qui exigeaient des réformes démocratiques. Sur les nombreux journalistes et politiciens emprisonnés en même temps que lui, dix sont morts dont l’ancien ministre des affaires étrangères Mahmud Ahmed Sherifo. Ça ne rigole vraiment pas en Érythrée.Peter John Jaban (Malaisie) Surnommé “Papa Orang Utan”, Peter John Jaban est le fondateur d’une radio libre basée à Londres et diffusée auprès des communautés de la jungle de Bornéo, Radio Free Sarawak. Victime des brouillages et des cyberattaques des autorités, Radio Free Sarawak continue tout de même de diffuser des infos exclusives notamment sur la corruption des politiques malaisiens.Ali Anouzla (Maroc) On aurait tendance à se dire que le Maroc est un pays libre et plutôt sympatoche qui sent bon le thé à la menthe et la fleur d’oranger, et bah non : au Maroc, comme dans pas mal d’endroits, on n’a pas le droit de dire du mal du roi. Directeur du site marocain Lakome, il s’est spécialisé dans la critique du roi Mohammed VI et de son régime qu’il qualifie de “mur de la peur”. Ça donne beaucoup moins envie d’aller passer son week-end à Marrakech.Anabel Hernández (Mexique) Journaliste pour Proceso et Reporte Indigo, Anabel Hernández est notamment connue pour avoir publié le livre Los señores del narco, best-seller vendu à plus de 100 000 exemplaires dans lequel elle pointait du doigt les rapports un peu trop étroits entre les cartels de la drogue et les puissances politiques et militaires du pays. Menacée de mort, elle vit aujourd’hui sous protection policière permanente. Une protection pas géniale géniale puisque plusieurs de ses sources ont déjà été assassinées.Muhammad Bekjanov (Ouzbékistan) Rédacteur en chef du journal Erk et farouche opposant au régime du président Islam Karimov, Muhammad Bekjanov est en prison depuis 1999. Passé aux aveux sous la torture, il a écopé d’une peine de quinze ans de prison qui a été aimablement réduite à treize en réparation pour les séances de torture. Alors qu’il devait sortir en janvier 2012, Bekjanov a été à nouveau condamné à 4 ans et 8 mois supplémentaires pour “refus d’obtempérer aux exigences de l’administration pénitentiaire”.Mazen Darwish (Syrie) Avocat et militant des droits de l’homme, Mazen Darwish a été poursuivi pour terrorisme en raison de son engagement pacifique en faveur des libertés d’expression et d’information. Plusieurs fois arrêté par la police de Bachar Al-Assad, il est incarcéré à la prison centrale de Damas depuis février 2012, dans l’attente d’un énième procès. Il a été, en 2012, le lauréat du prix de la liberté de la presse.Eric Topona (Tchad) Le 3 mai 2013, lors de la journée mondiale de la liberté de la presse, Eric Topona déclarait que la liberté de la presse se portait de mieux en mieux au Tchad. Trois jours plus tard, il était arrêté et jeté en prison. Après cent jours d’une détention pour le moins précaire, il sera condamné à trois ans de prison avec sursis. À nouveau en liberté, il s’est exilé en Allemagne.Tout bien réfléchi, en France on est pas si mal…Source : “100 héros de l’information” par RSF
Likez vous les uns les autres!! ;-)
Aujourd’hui, une petite série de up and down…ça vous intéressera…ou pas!! Down: La pression que se mettent beaucoup d’ados quant à l’image qu’ils renvoient sur les réseaux sociaux, comme en témoigne cet article du Parisien: Bon, il est vrai que je n’ai pas vraiment été surprise par cette analyse car on a pu déplorer bon nombre d’évènements tragiques liés aux réseaux sociaux ces dernières années mais je trouve quand même ça super inquiétant. ça m’a rappelé que cet été, Choupette, la fille d’un couple d’amis avait passé son week-end à surveiller le nombre de likes sur sa nouvelle photo de profil. Lorsqu’elle nous a sorti: ” Si je n’obtiens pas au moins 30 likes sur celle ci, c’est que je dois être moche!!”, inutile de vous dire que j’ai bondi de ma chaise en tentant de lui remettre les neurones en place. Je crois que c’était peine perdue puisque quelques heures plus tard, sa photo avait récolté un peu + de 70 likes et que le jugement de ses amis virtuels avaient de toute façon beacoup plus de poids que le mien.J’ai beau ne pas être maman, je bassine régulièrement mes amis-parents sur ce sujet car je pense qu’ils ont un vrai rôle à jouer de ce coté là. Encore plus à cet âge ou les gamin(e)s sont en quête d’identité. UP: L’initiative de France 5 qui a eu la bonne idée de prolonger en replay la diffusion du documentaire consacré à Eglantine Emeyé et au combat qu’elle mène au quotidien pour son fils Samy, autiste. Ce documentaire est ENORME!! il n’y a pas d’autres mots.Je suppose que vous l’avez tous vu. Si ce n’est pas le cas, foncez, ” Mon fils, un si long combat” est disponible gratuitement jusqu’à la fin du mois.J’en profite pour remettre ici le N° d’autismophobie. Article déjà relayé sur facebook accompagné d’un coup de gueule tant le laxysme du gouvernement sur ce sujet est gerbant!! DOWN: La crise d’uticaire de Jean François Copé concernant le bouquin “Tous à poil”. Encore + drôle lorsqu’on apprenait 2 jours + tard que Itélé avait diffusé (par erreur) des images de fellation en live à une heure de grande écoute,. Images provenant du film Nynphomaniac de Lars Von Tryer.Donc oui, je le redis ici, la polémique déclenchée par Copé me sort par les trous de nez et oui, je suis en accord avec les propos tenus ci-dessous par Marc Daniau. Super bonus du jour et je LOL encore +: Suite à cette polémique, le bouquin vient de réaliser en 3 jours pratiquement autant de ventes (1300) qu’il n’en avait fait en 3 ans!! (1500) C’est à qui qu’on dit merciiiiiii? 😉 UP: La série “Hello Ladies” découverte suite à un article de Télérama. (oui, parfois, je me la joue “Bobo-intello”, mais rasssurez vous, c’est rare.). L’histoire de ce grand mec pas vraiment super sexy et qui n’a jamais de bol avec les filles est amusante, distrayante, rafraichissante!! Je ne suis pas super fan des films ou séries un peu stéréotypées “fifilles”, généralement, je préfère un bon thriller mais ces épisodes m’ont amusée. Si vous avez envie de changer un peu du registre “séries policières” ou “fantastiques” qui innondent le marché, n’hésitez pas, même mes potes mecs ont apprécié!! Voici un petit aperçu en V.O ( j’adore la bande son aussi) mais vous pouvez la trouver en version sous titrée. Les épisodes sont courts (30 minutes), ça ne vous laissera pas le temps vous ennuyer. Voilà, that’s all pour aujourd’hui. J’aurais bien encore plein de trucs à vous raconter mais le coté “Plus c’est long, plus c’est bon”, sur la blogo; ça n’a jamais fonctionné.. Je vais donc en rester là. Je profite néanmoins de mon passage ici pour souhaiter une bonne fête des amoureux à ceux qui n’ont rien contre.. On sait bien que “L’AMOUUUUUR, c’est tous les jours” (oui, on n’est pas cons – ça fait 9 ans que je lis ça sur la blogo) mais tous les jours, figurez vous que c’est aussi demain!! Si vous ne voulez pas qu’il se sente humilié, “likez” ou plutôt “lovez” votre conjoint!! ;-)Les photos des articles de presse sont issues du “Parisien” de ces derniers jours.