Avec cette série intitulée « Infrascapes », Paolo Pettigiani offre un regard singulier et merveilleux sur les différentes villes qu’il a eues l’occasion de visiter. Le graphiste et photographe Italien a réalisé ces clichés l’été dernier, lors d’une escale de trois jours à Dubaï. « Cette série est une exploration graphique et visuelle de la ville. Pour ce projet, j’ai utilisé la technique de photographie numérique infrarouge. Elle permet au capteur de l’appareil photo d’être extrêmement sensible aux UV et à la longueur d’exposition. Ce sont les premières images infrarouges auxquelles j’essaie de donner une touche artistique ». « Ce que j’aime avec ce type de photographie, c’est de rendre visible quelque chose d’invisible. Mon but est de donner un nouveau regard, personnel et inattendu à des lieux pour le moins connus ». Retrouvez ses images sur sa page Instagram : @paolopettigiani
Category: retro
A Concerto In A Piano
C’est l’histoire d’un groupe de musiciens, Brunettes Shoot Blondes qui, nostalgiques de la sensation satisfaisante des synthétiseurs quand l’esprit s’amuse à en modifier tous les sons, ont racheté un ancien piano à queue et y ont placé une vingtaine instruments, à corde, percussion ou à vent. On retrouve un xylophone, des castagnettes, une batterie… Cette initiative donne une performance live à faire frémir de plaisir, pour leur nouveau single Houston, lequel sera quand même enregistré avec un “vrai” orchestre en studio, bien que ce piano trafiqué regorge de possibilités, chaque partie du clavier et des pédales donnant lieu à des mécanismes complexes et parfaitement al tempo !
Into Teemu Jarvinen’s Cityscapes
« J’ai commencé à faire de la photo un peu par accident. J’ai acheté mon premier appareil photo pour documenter mes voyages, mais au fur et à mesure, j’avais envie d’en faire de plus en plus. Jusqu’à ce que ça devienne presque une obsession ! », révèle Teemu Jarvinen. Ce photographe Finlandais basé à Dubaï est un véritable autodidacte qui a tout appris avec des cours en ligne, des vidéos et « beaucoup de pratique ». Avec ces deux séries intitulées « Cityscapes » et « Storm », l’artiste réalise des images singulières des villes de Singapour et de Dubaï. « Je trouve mon inspiration dans des films comme Blade Runner 2049. Ce que j’aime dans mon travail, c’est relever le défi de faire des images aussi parfaites que possibles sans retouches ». « J’ai toujours aimé la photographie urbaine. Ayant grandi dans un petit village Finlandais, je dois dire que les villes m’intéressent plus que la nature. La série « storm » a débuté par accident, alors que je tournais un timelapse à Singapour. Une tempête est arrivée en arrière-plan et c’est comme ça que j’ai commencé à chercher ces orages pour continuer la série ». Retrouvez ses images sur sa page Instagram : @teemu.jpeg
The Block Tower By Toby Harriman
« Pendant des années, j’ai vu passer de superbes photos de ces tours d’habitation et je voulais les voir et les documenter par moi-même », révèle Toby Harriman. Le photographe américain s’est rendu à Hong Kong pendant quatre jours, à l’occasion d’un voyage en Asie et a décidé de réaliser une série photographique et vidéo unique, intitulée « The Block Tower ». Avec son drone et son appareil photo, l’artiste s’est posté sur plusieurs points de vues à différentes heures de la journée, afin de capturer différentes lumières qui se reflètent sur les bâtiments. « J’y suis allé dans le but de faire des vidéos abstraites et d’avoir un rendu artistique. Je voulais montrer ces buildings sous un autre angle ». « Hong Kong est un monde totalement à part. C’est l’une des ville les plus densément peuplées au monde, avec une densité globale estimée à 6 300 personnes par kilomètre carré. Plus de sept millions de personnes vivent sur environ 1 108 km2. Tout est plus grand, plus dense et on avait l’impression que tout le monde vivait dans ce type de logements. C’est cool de voir qu’ils essaient d’incorporer de la couleur afin d’animer les quartiers. En tant qu’artiste, c’est difficile de regarder une telle ville et de ne pas être impressionné ». Retrouvez ses travaux sur sa page Instagram : @tobyharriman
Dive Into Hossein Zare’s Photoshopped World
« J’ai commencé en photoshoppant mes propres photos de famille », révèle Hossein Zare. Ce photographe indépendant Iranien a tout appris par lui même. De la prise de clichés à la retouche photo, il a perfectionné son art au fil des années et au fil des expériences. S’il a commencé comme novice, l’artiste réalise désormais des montages singuliers emprunts d’une poésie rare, à la simplicité parfaite. « Certains autres photographes comme Erik Johansson ou Michal Karcz m’ont donné envie de me lancer et m’ont inspiré. J’admire aussi beaucoup les peintres dans leur travail ». Retrouvez ses œuvres sur sa page Instagram : @hosseinzare