L’artiste québécoise Laurence Hervieux-Gosselin nous fait explorer un monde étrange qui prend place en campagne ou en banlieue. Ses oeuvres photographiques provoquent notre imaginaire et nous permettent de contempler une poésie brumeuse du quotidien; des détails, des lieux, des lumières «qu’on a trop souvent tendance à prendre pour acquis», indique-t-elle. Presque surréels, alors qu’ancrés au sein de paysages familiers et presque banals, les lieux qu’elle immortalise questionnent la frontière entre réalité et fiction. «Les paysages deviennent la scène d’histoires mystérieuses: visites d’OVNIS, intrigues non résolues ou encore des règlements de compte au sein du crime organisé.» Avec agilité, son travail parvient à déboussoler le spectateur, à lui faire remplir les espaces vides de l’histoire, parfois même sans que ce dernier ne réussisse exactement à en déchiffrer la portée. Des photographies mémorables: aussi déconcertantes qu’esthétiques. Visitez son site web.
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Creative Event Paris On Air
À l’occasion du Air Max Day 2018, l’un des événements les plus attendus de l’année pour les amateurs de sneakers, la marque au swoosh a dévoilé son tout nouveau modèle, la Air Max 270. Cette année, Nike a décidé d’aller encore plus loin en organisant un événement unique « Nike On Air » pour imaginer la Air Max de demain, à l’image de sa ville. Après avoir traversé les villes de Shanghai, Londres, New York, Séoul et Tokyo, Nike On Air s’arrête à Paris. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi L’événement s’est tenu pendant trois jours à la Cité de la Mode et du Design. Fort d’une scénographie soignée, Nike On Air a fait voyager les visiteurs au rythme du design, des tendances et de la généalogie de la Air Max. Un premier temps fort retrace l’histoire de la chaussure à travers une exposition originale. Sur fond de bulles d’air et de tuyaux apparents, les amateurs ont pu redécouvrir les modèles iconiques qui ont fait la légende de la marque. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi On se souvient des premières inspirations de la Air Max. Il y a plus de 30 ans, le designer Tinker Hatfield découvre le Centre George Pompidou, un bâtiment singulier qui montre à l’extérieur l’architecture intérieure habituellement cachée. Ce dernier s’en inspire, pour à son tour, révéler à l’extérieur ce qui se cache à l’intérieur : la bulle d’air. Tinker ouvre la structure de la chaussure et conçoit ce qui deviendra la ligne directrice de la Air Max 1. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi Second temps fort, les participants ont planché sur la Air Max de demain, en choisissant entre silhouettes, textures, matières, palettes de couleurs et finitions pour inventer le modèle de leur rêve. Au total près de 2400 personnes ont participé aux ateliers, en ayant la chance d’être accompagné par les designers Nike présents à l’événement. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi Selon Courtney Dailey, Senior Colors Designer : « la couleur est une arme, un vecteur d’histoire. Elle est au coeur de notre réflexion. Nous essayons toujours de proposer des produits innovants en analysant les nuances de couleurs avant tout. La chaussure que tu vas acheter est représentée d’abord par ses couleurs, ensuite tu construis ta tenue en fonction de cela. » Pour Marie Odinot, Footwear Designer qui a travaillé sur la Air Max 270 : « La contrainte c’est d’abord de faire une chaussure confortable pour des personnes qui vont la porter toute la journée. Ensuite, le design doit mettre en valeur l’air bag, la chose la plus importante de la chaussure. Tu peux t’inspirer des anciens modèles mais toujours avec l’idée en tête que tu proposeras une chaussure très différente des autres modèles» Trois modèles ont été sélectionnés et seront mis en ligne sur le Global Voting Hub. Tout le monde est invité à voter et les vainqueurs seront annoncés le 14 Mai. © Sam Sarabandi Les participants du Nike On Air ont pu terminer leur expérience sur un atelier de customisation de produits, qui propose de choisir quelques motifs parmi une palette, pour créer un vêtement Nike à son image et repartir avec. La tagline « de l’imagination à la réalité ».
Le Whaling se filmer en sautant comme une baleine
Une nouvelle tendance (Whaling) est …
Info, escapade, beauté…la note 3 en 1!!
Paname, Paname, Paname….ses monuments, ses musées, ses belles avenues et ses 32 millions de touristes annuel. Oui, oui, vous l’avez tous lu ou entendu récemment, en 2013, Paris a détrôné Londres en terme de fréquentation touristique et se place ainsi au 1er rang des capitales visitées. Si la plupart des visiteurs n’hésitent pas à classer notre capitale comme plus belle ville du monde, et si je tente parfois de vous vendre du rêve avec de “zolies” photos de la Tour Eiffel que je publie regulièrement sur facebook, il faut savoir que Paname, c’est aussi ça!!:(Amateurs d’apéro que vous êtes, je ne doute pas un seul instant que vous connaissiez tous les “Crakers Belin”, par contre, je suis à peu près sûre que vous êtes beaucoup moins calés sur les “Crackeurs” du métro parisien.) Coup de bol pour moi, j’ai la chance de ne pas habiter à proximité des stations concernées et d’échapper au triste spectacle que celui de ces toxicos défoncés aux yeux de tous, mais il serait temps que la mairie de Paris ou la préfecture (j’en sais rien) bouge un peu ses fesses!!Plus gai et parce qu’avec les beaux jours, les envies d’escapades en amoureux, entre potes ou familiales reprennent, un bon plan chez Gîtes de France qui se déroule en ce moment et jusqu’au 12 avril. (L’article est paru, il y a déja un petit moment mais je n’avais pas eu lemps de vous en parler.). Pour avoir effectué plusieurs séjours avec eux, volontairement dans des petits villages un peu paumées, je suis toujours super bien tombée!! Maisons super sympas, cadre authentique et acceuil des proprios très convivial. Quand on prononce le mot “gîte”, les gens ont encore trop tendance à s’imaginer dormir dans une grange ou une cabane pourrie, limite sans eau ni électricité, ( Ok,j’exagère un peu.), mais sachez le, ce n’est pas du tout le cas. Certaines maisons sont dignes du confort d’ hôtels 3 ou 4 étoiles. Sans les services bien sûr, personne ne viendra vous apporter le petit déj ou une bouteille de champ à 4 heures du matin.Dernier truc, une petite astuce beauté: C’est la dèche, vous êtes un peu fauchées ou tout simplement, vous n’avez pas 372 euros ( Rhhhôo, ça va, je déconne…) à dépenser dans le dernier démaquillant à la mode recommandé par toutes les Youtubeuses ou Blogueuses beauté, arrêtez de pleurnicher, voici la solution!!: Je précise que je n’ai pas encore essayé cette recette magique et économique, (j’ai que des yaourts à la fraise ou des mousses au chocolat chez moi!! 😉 ) mais si vous, vous avez déja testé, vos retours sont les bienvenus. Voilà les zamis, c’était la petite note en vrac du jour. Si vous repartez d’ici un peu moins con, j’aurais rempli ma mission. Si vous l’êtes toujours autant, ( joke!!) j’essaierais de faire mieux la prochaine fois… 😉 Toutes les photos sont issues de mon journal quotidien ” Le Parisien”
Portée disparue pendant le réveillon, elle était en fait bloquée aux toilettes
On est nombreux sur cette Terre à avoir passé un réveillon dans les toilettes, pour une raison ou pour une autre. Et si cette mésaventure permet d’éviter le décompte et les vœux hypocrites des invités, reste qu’être bloqué aux WC à l’occasion du réveillon – ou de n’importe quelle autre soirée d’ailleurs – n’est pas souvent mentionné dans les bucket list des gens, et on le comprend. C’est pourtant ce qui est arrivé à cette dame d’une cinquantaine d’années, originaire de Bourg-en-Bresse. Alors que celle-ci avait pour mission de nourrir le chat d’un ami pendant son absence, la pauvre quinqua a emprunté les toilettes de ce dernier et BIM : bloqué ! Si comme les Casseurs Flowters elle, vous avez tendance à bloquer, vous devez aisément imaginer son angoisse. Heureusement, grâce à la localisation de son téléphone, les gens qui l’avaient portée disparue, ont finalement pu la retrouver. On se demande pourquoi elle n’a pas utilisé son smartphone plus tôt… Ses proches l’imaginant déjà perdue : La façon dont vous, les internautes, pensiez qu’elle était bloquée : Elle…