En parcourant les archives de MinuteBuzz, on tombe régulièrement sur des petites perles que vous aviez probablement oubliées. Aujourd’hui, retour sur l’origine des logos des plus grandes marques. Ce sujet avait fait beaucoup de bruit à la fin de l’été dernier. Effectivement, nous sommes très nombreux à vouloir en savoir davantage sur la face cachée des produits que nous consommons. Si les industriels tels que Coca Cola, Google ou encore Nike brassent aujourd’hui des millions d’euros en quelques journées, saviez-vous que ces derniers n’ont que très peu déboursé (pour ne pas dire rien) pour la création de leur logo ? A l’inverse, d’autres logos ont coûté une fortune ! C’est le cas de celui de BP redessiné en 2008 pour la modique somme de 171 millions d’euros. Mais aussi celui des Jeux Olympiques 2007 pour 506 000 euros. Ça vaut le coût d’être créatif ! Prix du logo Pepsi : 810 000 euros. Dessiné par Arnell Group en 2008. Prix du logo Coca-Cola : 0 euro. A été créé en 1885 par Frank Mason Robinson, le comptable de John Pemberton, sans avoir demandé de rémunération en échange. Prix du logo BP : 171 millions d’euros. Redessiné en 2008, l’emblème de British Petroleum a fait scandale pour son prix faramineux tandis que le prix de l’essence continuait de grimper. Prix du logo Google : 0 euro. Il fut dessiné en 1998 par Sergueï Brin lui-même, co-fondateur de la société. Prix du logo des JO 2012 de Londres : 506 000 euros. Dessiné par Wolff Ollins en 2007. Prix du logo Nike : 28 euros. Il fut dessiné par Carolyn Davidson en 1975. Prix du logo (feu) NeXT : 81 000 euros. La société de Steve Jobs a fait appel à Paul Rand pour dessiner son logo en 1986.
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Werner Freund, l’homme qui vit et mange avec les loups
A l’instar de Jack London et son Croc-Blanc, Liam Neeson et son Territoire des loups peuvent aller se rhabiller face à Werner Freund. Ce vieux croûton de 79 ans, ancien parachutiste, vit ainsi depuis plus de 40 ans au milieu des loups aux alentours de Merzig, en Allemagne. Loin d’être effrayé par ces derniers, Freund mange et joue avec eux au quotidien dans un respect et une estime mutuelles. Mieux encore : l’homme se qualifie de “chef de la meute“, exerçant une domination sur tous ses pairs. A l’heure du déjeuner, Werner est ainsi le premier à se servir (en viande crue, évidemment) et n’autorise personne à l’approcher tant qu’il n’a pas fini. Et c’est pourquoi les bestiaux ne l’ont encore jamais choisi comme casse-croûte. Une belle histoire à découvrir ci-dessous :