Me revoilà dans les rues de Montpellier pour un collage sur les murs de la boutique de Sylvie alias l’Atelier des Merveilles au 12 rue du Puits du Temple ! L’enjeu pour ce street art était d’utiliser l’angle et les deux murs. L’histoire à raconter sur ces murs devait donc fonctionner autant en venant d’un…
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De drôles de choses poussent dans ce jardin thaïlandais
En Thaïlande, Katai Kamminga a imaginé ce qui est très probablement le premier jardin érotique –avec son salon de thé– au monde. Érigé dans le district de Mae Rim en plein centre du pays, il abrite diverses statues et sculptures végétales représentant des phallus, des paires de seins ou encore des postérieurs… Ouvert depuis le mois de janvier, la propriétaire du jardin confie avoir eu une révélation quand elle a reçu un livre sur l’art érotique à travers le monde. Elle a alors souhaité importer cette forme d’art dans son pays à sa façon. huffpost huffpost huffpost huffpost huffpost huffpost
Creative Event Paris On Air
À l’occasion du Air Max Day 2018, l’un des événements les plus attendus de l’année pour les amateurs de sneakers, la marque au swoosh a dévoilé son tout nouveau modèle, la Air Max 270. Cette année, Nike a décidé d’aller encore plus loin en organisant un événement unique « Nike On Air » pour imaginer la Air Max de demain, à l’image de sa ville. Après avoir traversé les villes de Shanghai, Londres, New York, Séoul et Tokyo, Nike On Air s’arrête à Paris. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi L’événement s’est tenu pendant trois jours à la Cité de la Mode et du Design. Fort d’une scénographie soignée, Nike On Air a fait voyager les visiteurs au rythme du design, des tendances et de la généalogie de la Air Max. Un premier temps fort retrace l’histoire de la chaussure à travers une exposition originale. Sur fond de bulles d’air et de tuyaux apparents, les amateurs ont pu redécouvrir les modèles iconiques qui ont fait la légende de la marque. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi On se souvient des premières inspirations de la Air Max. Il y a plus de 30 ans, le designer Tinker Hatfield découvre le Centre George Pompidou, un bâtiment singulier qui montre à l’extérieur l’architecture intérieure habituellement cachée. Ce dernier s’en inspire, pour à son tour, révéler à l’extérieur ce qui se cache à l’intérieur : la bulle d’air. Tinker ouvre la structure de la chaussure et conçoit ce qui deviendra la ligne directrice de la Air Max 1. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi Second temps fort, les participants ont planché sur la Air Max de demain, en choisissant entre silhouettes, textures, matières, palettes de couleurs et finitions pour inventer le modèle de leur rêve. Au total près de 2400 personnes ont participé aux ateliers, en ayant la chance d’être accompagné par les designers Nike présents à l’événement. © Sam Sarabandi © Sam Sarabandi Selon Courtney Dailey, Senior Colors Designer : « la couleur est une arme, un vecteur d’histoire. Elle est au coeur de notre réflexion. Nous essayons toujours de proposer des produits innovants en analysant les nuances de couleurs avant tout. La chaussure que tu vas acheter est représentée d’abord par ses couleurs, ensuite tu construis ta tenue en fonction de cela. » Pour Marie Odinot, Footwear Designer qui a travaillé sur la Air Max 270 : « La contrainte c’est d’abord de faire une chaussure confortable pour des personnes qui vont la porter toute la journée. Ensuite, le design doit mettre en valeur l’air bag, la chose la plus importante de la chaussure. Tu peux t’inspirer des anciens modèles mais toujours avec l’idée en tête que tu proposeras une chaussure très différente des autres modèles» Trois modèles ont été sélectionnés et seront mis en ligne sur le Global Voting Hub. Tout le monde est invité à voter et les vainqueurs seront annoncés le 14 Mai. © Sam Sarabandi Les participants du Nike On Air ont pu terminer leur expérience sur un atelier de customisation de produits, qui propose de choisir quelques motifs parmi une palette, pour créer un vêtement Nike à son image et repartir avec. La tagline « de l’imagination à la réalité ».
Power Of Clothes By Photographer Libby Oliver
La photographe Libby Oliver a réalisé une série de portraits où ses modèles sont ensevelis sous une montagne de vêtements, qui constituaient leur dressing. Le but ? Représenter visuellement leur personnalité à travers les vêtements et se concentrer sur le pouvoir de leur consommation. Cachés sous des foulards, pantalons, t-shirts, il est parfois presque impossible d’apercevoir le sujet photographié. Le projet est à découvrir sur son site et sur Instagram.
Portraits of Redhead Women
La photographe bosniaque Maja Topčagić centre son travail sur une partie précise de la population : des jeunes et jolies femmes aux cheveux roux. Sachant que seulement 1 à 2% de la population mondiale peut se targuer de posséder des cheveux d’une telle couleur, l’artiste parvient à magnifier les jeunes femmes immortalisées, à découvrir dans la suite dans une série de portraits.