Organisés conjointement par Fubiz et l’agence TETRO, les Fubiz Talks vous donnent rendez-vous pour une troisième édition le 4 octobre prochain dans l’écrin de la Salle Pleyel. De nombreux talents, qui font le paysage créatif actuel, viendront révéler leurs inspirations et les processus créatifs qui les guident au quotidien. Parmi eux, l’artiste français Mathias Kiss. « Golden Snake », © David Zagdoun Après avoir fait ses premières armes chez les Compagnons, cet artiste a acquis une solide expertise en restauration de monuments historiques et une maîtrise des différents styles architecturaux. Mathias Kiss explore la totalité des champs des possibles en matière de création artistique. « Radiant Room » pour Boucheron, ©Boucheron Sa réflexion s’oriente autour de la déconstruction de l’architecture classique en menant des travaux qui mélangent différentes disciplines comme la peinture et la sculpture, pour créer des installations in situ uniques. Les éléments qui composent ses œuvres sont toujours détournés de leur fonction première pour créer des expériences singulières. « Kiss Room », © Alexandre Gurkinger Vous pourrez entrer dans l’univers unique de Mathias Kiss le 4 octobre prochain à la Salle Pleyel. Il est dores et déjà possible de vous munir de vos billets sur les billetteries de la Salle Pleyel, de la Fnac et Digitick. « Banquise », © Alexandre Guirkinger
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Bon plan : faites vos voyages en partageant un jet privé (c’est pas si cher)
Le co-voiturage, c’est dépassé, place au partage de jets privés. C’est lors de ses voyages en jets que Sergey Petrossov s’est aperçu que 30% des vols ne contiennent… aucuns passagers ! Il est également difficile de réserver des avions privés selon lui (vous avez déjà eu ce problème vous ?). Le concept lui est donc apparu comme une évidence : créer l’application smartphone JetSmarter proposant de partager un jet au prix d’un vol classique ! Alors, qu’est-ce que vous attendez ? via Jet Smarter via Jet Smarter
Comment gagner 10.000 Euros en quelques secondes sur Youtube?
(Comme le titre peut paraître un brin racoleur, je précise d’ores et déjà qu’il s’agit d’une info réelle.) Et bien… c’est simple (IRONIE!!), vous créez une chaîne Youtube qui déchire tout. Vous vous retrouvez un jour avec 500.000 abonnés ou plus et vous devenez alors un parti fort intéressant pour les marques qui vous sollicitent pour faire ce qu’on appelle du “placement de produits”.A la différence d’un partenariat classique ou d’une vidéo sponsorisée, le placement de produits est plus subtil. Le produit ou service mis en avant est souvent noyé au milieu d’une multitude d’autres informations, ce qui fait que le spectateur ne perçoit pas forcément qu’il s’agit d’une recommandation “achetée” ou rémunérée si vous préférez.*Poisson fécond (oui, oui, c’est son pseudo YT), découvert ce midi via les enfants (ados) de mes potes a eu la grande honnêteté dans une de ses vidéos récentes d’expliquer à son jeune public “l’envers du décor” si je puis dire. Rien que pour ça, j’ai envie de dire: Respect mec!!Si ça vous intéresse, voici la vidéo en question. Vous trouverez ses explications à partir de 5 minutes 12. Alors…qu’on soit bien clair…via cet article, je ne suis pas dans le jugement, juste dans l’info. 10.000 Euros, on est bien d’accord, c’est un sacré paquet de fric mais il n’y a pas de fumée sans feu. Si les marques sont prêtes à investir une telle somme, c’est que le mec doit avoir du talent et sincèrement, il aurait tort de cracher sur une telle rémunération, non? ( Posez vous la question 5 secondes …Vous auriez fait quoi, vous à sa place…?) On ne rassemble pas autant de monde sur une chaine Youtube avec du vide. Après, quon soit dans la cible et que ça nous plaise ou pas, c’est un autre débat. On n’a pas tous 14 ans et demi…et comme je l’ai souvent dit, que ce soit sur YT ou sur la blogo, il y a un public pour tout.Unique point où j’émets une réserve, et je m’en rends compte via les enfants de mes amis: Un peu aveuglés par l’émergence de ces nouveaux acteurs du web depuis 2 ans, les ados ont un peu trop tendance à rêver d’une telle réussite quitte à envisager de lâcher leurs études, comme l’ont fait certains youtubeur(ses) qu’ils vénèrent. Là, bien évidemment, je dis danger et c’est aux parents de remettre un peu les choses en place. Si quelques youtubeurs( ses) français ou étrangers vivent très confortablement de leur activité, des millions d’autres ne seront jamais en mesure de monétiser leur chaînne.Voili voilou les zamis. C’était la petite note du dimanche soir. Si vous avez appris ou découvert un truc, tant mieux. Si ce n’est pas le cas, ou si ce que je raconte ici ne vous intéresse pas, je vous laisse reprendre vos visionnages de vidéos de chats. 😉 * Je ne rentre pas plus dans le détail. Si vous avez des questions, nhésitez pas à les poser ici ou sur FB. Mes zamis et moi, tâcheront d’y répondre.