Sur les réseaux sociaux les parents postent souvent des photos de leur vie, qui semble idéale, sauf que ce n’est pas ça la réalité de la vie avec des enfants. Le photographe Danielle Guenther a souhaité mettre ce phénomène en évidence avec un shooting en plein chaos familial. Histoire de montrer ce que c’est la vie de famille, la vraie, avec des gosses (et avec humour !). via Danielle Guenther © ©Danielle Guenther via Danielle Guenther © ©Danielle Guenther ©Danielle Guenther ©Danielle Guenther ©Danielle Guenther ©Danielle Guenther ©Danielle Guenther ©Danielle Guenther ©Danielle Guenther
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Ses portraits d’animaux complètement décalés sont bluffants !
Lorsque l’artiste Chris Beetow réalise un portrait d’animal, il n’esquisse pas simplement les traits physiques de la boule de poils, il le dépeint en lui attribuant des caractères et des mimiques. D’un œil avisé, son travail décalé et original rend un vibrant hommage à nos compagnons à quatre pattes. ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow ©Chris Beetow Et alors, on tire quand le portrait de Médor ?
“Je me casse” : une présentatrice démissionne en direct à la télé !
Ça chauffe en Alaska ! La présentatrice télé de la chaîne KTVA 11 News, Charlo Greene, a quitté son job en direct, laissant une collègue médusée et balbutiante. A l’origine de cette décision soudaine et inattendue ? Un reportage sur le cannabis, après lequel la journaliste affirme : “Tout ce que vous avez entendu (dans ce sujet) est la raison pour laquelle, en tant que véritable propriétaire du Alaska Cannabis Club, je compte dédier toute mon énergie dans la lutte pour la liberté et l’équité – ce qui commence avec la légalisation du cannabis en Alaska», a-t-elle lancé face à la caméra. Quant à mon travail ici, et bien, ce n’est pas que j’aie beaucoup de choix, mais fait chier je me casse” avant de quitter la plateau avec un haussement d’épaule. On plaint (un peu, faut pas déconner) l’autre journaliste, sonnée, qui tente de faire bonne figure.
Make a Child Cry Campaign
#MAKEACHILDCRY est la nouvelle campagne pour Médecins du Monde pensée par DDB Paris pour montrer l’injustice faite au 4 millions d’enfants dans le monde qui meurent de maladies car ils n’ont pas accès aux soins. Avec le slogan : « Faire pleurer un enfant, ça peut lui sauver la vie », des prints et un spot montrent des enfants en larme que l’on pense d’abord en train de souffrir mais qui s’avèrent être tristes à cause d’un soin ou d’un vaccin prodigué par un docteur. En s’appuyant sur un fait universel, la peur des enfants face au médecin, la campagne s’éloigne du simple constat de la souffrance pour mettre en valeur l’action de Médecins du Monde sur le terrain. La pub a été lancée le 6 juillet à travers des affiches et une vidéo. Elle s’est étendue le 8 juillet avec une landing page dédiée à l’identité des Médecins du Monde. Elle se poursuivra à l’international en TV, presse et affichage : en Allemagne, Argentine, Canada, Espagne, Grèce, Pays-Bas, Portugal, Suisse, UK.
Incroyable : cet homme a vécu un mois sous l’océan
Il peut sembler normal que Fabien Cousteau entretienne un lien bien particulier avec l’océan lorsqu’on sait que son grand père n’est autre que le célèbre commandant Jacques Cousteau. Ayant passé un temps incalculable sur le Calypso, le bateau de son grand père, Fabien Cousteau, passionné de toujours par la mer et les espèces qui la peuplent a cette année relevé un exploit qui tient de l’incroyable. En effet, après diverses missions d’exploration sous-marine, il s’est lancé le défi d’habiter pendant un mois dans la NOOAA Aquarius Reef Base, véritable laboratoire sous-marin de l’agence américaine responsable de l’étude de l’océan et de l’atmosphère situé au large de Key Largo dans l’état de Floride, à 20 mètres de profondeur. Passant la quasi-intégralité de son temps éveillé à explorer les fonds marins et à collecter des données sur leur environnement (notamment en rapport avec le réchauffement climatique), l’équipe de Fabien aura effectué l’équivalent de 3 ans de recherches en seulement 31 jours. Si les conditions de vies sont radicalement différentes en profondeur (pousse des cheveux beaucoup plus rapide, difficultés à percevoir le goût des aliments), Fabien Cousteau assure aujourd’hui n’avoir à aucun moment été pressé de remonter vers la surface, cette idée étant même plus difficile à admettre que celle de rester parmi les poissons.