Illustrateur et scénariste vivant à Barcelone, Oriol Vidal a travaillé avec de grandes maisons d’édition telles que Scholastic ou Harper Collins. Sa série d’illustrations « Summertime » est l’un de ses projets personnels, axé sur le thème de l’été, de la chaleur, du soleil. Une célébration de cette période de relaxation, où l’on troque son costard-cravate pour un short et des paires de tongs, mais également propice au voyage, au rêve, à l’amusement. Ses dessins, riches en couleur, nous présentent diverses activités souvent pratiquées durant l’été : La lecture sur la plage, la piscine, ou encore des balades champêtres. La finesse de ses traits ainsi que le nombre de détails et la texture utilisée dans ses illustrations nous immergent dans l’insouciance et le plaisir que procurent cette période charnière, qui mériterait sans aucun doute de durer toute l’année.
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Une météorite traverse le ciel en Alsace, Suisse et Autriche (15 mars 2015)
Une grosse boule de feu …
Saisissant : cette Japonaise perd 40 kilos sans faire de sport !
Juste à l’aide de… Photoshop… Oui, on sait, c’est de la triche.
Les perles de footballeurs, parce qu’une bonne grammaire n’est pas donnée à tout le monde…
On peut envier beaucoup de choses aux footballeurs… bon principalement leur fric. Mais s’il y a bien une chose dont on ne peut pas être jaloux, c’est leur capacité à parler un français impeccable et élégant. En tout cas, ça a le mérite de bien nous faire rire. Voilà donc pour votre plus grand plaisir, quelques perles qui ont été prononcées par nos amis qui courent après des balles. Par ailleurs, si vous voulez encore plus de sourire et de grammaire , vous pouvez acheter le livre de Jérôme Jessel “Les perles des footballeurs”, duquel ces phrases sont extraites ! Konbini Konbini Konbini Konbini Konbini Konbini Konbini Konbini Konbini Konbini Essayons de ne pas juger ! funnyjunk.com
Top 10 des manières d’annoncer à vos parents que vous n’avez pas le bac, et franchement c’est coton
source photo : movieweb Vous avez cité Nabilla dans votre copie de philo et placé le Brésil en Europe dans celle de géo ? Soyons honnêtes : vous n’aurez pas la bac. Ni cette année, ni une autre. En soi, ce n’est pas très grave, mais le tout c’est de l’annoncer à papa maman sans qu’ils vous claquent entre les doigts. “Papa, maman, sans mon bac, je n’ai plus aucune raison de vivre. On aura passé de belles années ensemble vous et moi, mais maintenant c’est fini.” Avoir l’air désespéré reste de loin la meilleure option. Pris de pitié, vos parents n’oseront certainement pas vous enfoncer en pointant du doigt votre inculture crasse. Avec un peu de chance, vous pourriez même finir avec un petit cadeau de consolation. “Je suis enceinte, séropositive et accro au crack. Ah oui, et aussi j’ai raté le bac.” Si elle a plusieurs fois fait ses preuves, la méthode dite du détournement d’attention n’est pas sans risque. En effet, il n’est pas impossible que vos parents soient encore un tout petit plus énervés quand vous leur annoncerez que vous n’être ni enceinte, ni séropo, ni drogué, mais que vous avez bel et bien foiré le bac. “Je ne comprends pas ce qui s’est passé. Je me suis fait saquer, c’est pas possible.” C’est hypocrite, oui. Vous savez très bien ce qui s’est passé : vous n’avez rien foutu et ne savez pas compter jusqu’à 3. Néanmoins, les parents sont toujours sensibles à l’injustice, et savoir que leur petit canari des îles a été saqué ne pourra que les émouvoir. “Le bac ? Ah, j’ai oublié de vous dire : ils ont perdu les copies. Du coup tout le monde redouble.” Risqué, mais peu fonctionner si vos parents ont le QI d’une huître. “J’ai pas le bac et je vous emmerde.” Retenez bien cette leçon : NON, l’honnêteté ne paye pas. Jamais. Tout ce que vous gagnerez à ne pas raconter un gros bobard, c’est deux mois de vacances enfermé dans votre chambre sans téléphone ni ordinateur à jouer au basket avec vos crottes de nez. “Je n’ai pas le bac, comme Depardieu, François Pinault et Fabrice Luchini.” Invoquer les célébrités qui s’en sont très bien sorties sans le bachot est une technique assez maligne, certes. Attention néanmoins à ce que vos parents ne découvrent pas que ce brave Christian Estrosi fait aussi partie desdites célébrités qui n’ont pas le bac. “J’ai pas mon bac. Et de toute façon je sais bien que vous ne m’avez jamais aimé.” Ne jamais sous-estimer le pouvoir de la culpabilisation. Cette arme de destruction massive pourra vous sortir des situations les plus périlleuses. “J’ai pas le bac mais j’ai ramené des croissants.” Ravis que leur progéniture d’habitude de si mauvaise composition leur apporte le petit-déjeuner au lit, les parents occulteront comme par magie la première partie de votre phrase. Il n’est pas impossible cependant que le sujet revienne sur le tapis au bout de quelques semaines. Procédez alors de la même façon. “Papa, maman, je n’ai pas mon bac, mais qu’est ce que je vous aime !” Ça se tente. “Je n’ai pas mon bac. Et si vous me faites chier je bute maman dans son sommeil et mange son foie au p’tit déj.” Une bonne façon de troquer une deuxième année de terminale contre un petit séjour en HP. Il faut ce qu’il faut pour échapper à l’EPS. Sinon vous pouvez changer de pays et d’identité. Ça marche aussi.